Célébrités

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Dany Boon – les pubs EDF. Ils ont dépensé tout l’argent dans la pub alors qu’ils avaient le monopole de l’électricité. On était tous abonnés.

Au royaume des temps jadis, où règne l’électricité, Il est une histoire que je vais vous conter, Elle se déroule au Moyen Âge, en ces temps bénis, Quand EDF, puissant, avait l’énergie à l’infini. Dany Boon, joyeux troubadour des terres lointaines, Parcourait les contrées, portant rires et haines, Il se moquait des puissants, sans peur et sans retenue, Et EDF, la cible de sa vive verve, en fut tout émue. Les pubs d’EDF, qui envahissaient chaque coin, Faisaient miroiter merveilles, pour attirer les voisins, Mais l’argent ainsi dépensé, sans aucune limite, Faisait jaser les foules, et la rumeur s’y invitait. Car EDF, vile énergéticienne à profusion, Déployait tous ses efforts dans cette débauche de millions, Alors qu’elle possédait le monopole tout-puissant, Les abonnés se demandaient où partait l’argent engloutissant. Les bardes chantaient alors, de village en village, Les pubs d’EDF, vives étincelles de mirages, Ils dénonçaient le gaspillage, l’injustice de ces temps, Et tous les abonnés se sentaient lésés, impuissants. Mais voyez-vous, mes amis, la morale de cette histoire, C’est que même les puissants ne peuvent échapper à la gloire, Car EDF, dans un sursaut plein de sagesse, Compris enfin que l’essentiel n’est pas la richesse. Elle changea son approche, sa communication, Et s’ouvrit aux autres, abandonnant la déraison, Ainsi, les abonnés en furent satisfaits, Car leur électricité, à tous, fut meilleure, en effet. Alors l’histoire se propagea, de quête en quête, Et les bardes continuèrent à en parler sans cesse, Dany Boon, lui, se garda de tout jugement, Il sut simplement que l’évolution était le vent. Ainsi, mes amis, cette ballade du passé, Nous rappelle que chacun peut, avec sagesse, renaître, Que même les monopoles doivent savoir écouter, Pour offrir à tous, enfin, un monde meilleur peut-être.

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Simpsons – L’échec. Tu as essayé de ton mieux et tu as échoué misérablement. La leçon est de « ne jamais essayer ».

Titre : Échec Spectaculaire à l’École des Simpsons : La Leçon de « Ne Jamais Essayer » Remise en Question Springfield – Dans une série de rebondissements aussi hilarants que déconcertants, la famille Simpson a une fois de plus prouvé qu’ils étaient les champions de l’échec, lors d’une journée mémorable à l’école élémentaire de Springfield. Bart, petit cancre au cœur tendre, s’est donné pour mission de réussir au moins une composition pour surprendre ses enseignants et redorer son blason mahonais. Mais malheureusement, l’étoile du jeune garçon a clairement pâli. Avec toute la détermination dont il pouvait faire preuve, notre jeune héros a travaillé tard dans la nuit pour rédiger une dissertation de trois pages sur les voyages autour du monde à dos de margouillat. Bien qu’il ait pris soin de faire quelques références historiques et scientifiques, l’ensemble s’est avéré être un joyeux mélange d’absurdités comiques. Le matin de la remise des devoirs, Bart n’était pas peu fier de sa création littéraire fantaisiste. Mais, hélas, son orgueil a été rapidement douché lorsque Mme Krapabelle, son enseignante, a commencé à lire sa copie à voix haute devant la classe. Les rires incontrôlables et les regards incrédules de ses camarades ont enterré définitivement toutes ses ambitions de grandeur. Lisa, la sœur intellectuelle et morale, a également tenté sa chance en participant au concours de maths inter-écoles de la région. Elle a passé des heures et des heures à résoudre d’innombrables équations, convaincue qu’elle pourrait enfin prouver au monde sa géniale maîtrise des chiffres. Mais, contre toute attente, elle a fini par se retrouver coincée sur la première question. Elle a confondu un triangle isocèle avec un triangle paresseux, une coquille impossible à dissimuler face à l’impitoyable jury. Quant à Homer, notre père de famille bien-aimé, il s’est hasardé à présenter sa dernière invention iodée : un distributeur automatique de bières intégré au canapé du salon. Bien qu’il y ait consacré de nombreuses soirées et une énorme quantité de bières d’expérimentation, son intuition douteuse en matière d’ingénierie a abouti à une catastrophe en direct. Lorsque la famille s’est rassemblée pour admirer cette merveilleuse création, elle a été accueillie par une inondation de bière, laissant la maison dans un état indescriptible. Après ces tentatives désastreuses, les Simpson ont finalement compris que la leçon de « ne jamais essayer » est peut-être une valeur sur laquelle ils peuvent s’appuyer. La famille a décidé de revoir ses ambitions et de se contenter de ce qu’ils font de mieux : être eux-mêmes, aussi chaotiques et déjantés que cela puisse paraître. Alors que cette journée continue de faire le tour de Springfield, elle restera à jamais gravée dans les annales de l’école élémentaire, où les échecs des Simpson seront le sujet de nombreuses blagues et anecdotes pendant des années. Ce n’est peut-être pas une victoire éclatante, mais cela nous rappelle que les échecs font partie de la vie et qu’il est important de se moquer de soi-même. Après tout, si les Simpson nous ont appris quelque chose, c’est que l’échec peut aussi être la source de moments inoubliables et de fous rires en famille. Alors, même si « ne jamais essayer » peut sembler une devise étrange, n’oublions jamais de garder notre sens de l’humour et de suivre les pas des Simpson, qui continuent courageusement à échouer misérablement avec le sourire.

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Coluche – Crédit. Un crédit : long terme, ça veut dire que moins tu peux payer, plus tu payes.

En tant que voyageur temporel du futur, j’observe attentivement les vestiges culturels du XXIe siècle pour mieux comprendre la mentalité et l’humour de cette époque révolue. Parmi ces témoignages du passé, se trouve une fameuse blague racontée par l’humoriste français Coluche sur le thème du crédit. Dans le contexte du début du XXIe siècle, il est important de noter que le concept du crédit jouait un rôle prédominant dans la société de cette époque. Les individus accordaient une grande importance à leur solvabilité financière et à leur capacité à obtenir des prêts pour acquérir des biens ou des services. C’est dans ce contexte que la blague de Coluche révèle des aspects comiques et critiques du système de crédit de l’époque. La blague se résume ainsi : « Un crédit : long terme, ça veut dire que moins tu peux payer, plus tu payes. » Cette déclaration apparemment paradoxale reflète habilement une réalité économique de l’époque où les emprunteurs étaient souvent victimes de taux d’intérêt élevés et de conditions de remboursement désavantageuses. Coluche met donc en évidence l’absurdité d’un système où ceux qui avaient le moins de moyens se retrouvaient à payer davantage sur le long terme. Cette blague révèle également une observation subtile sur les mentalités de cette époque. Elle souligne la tendance des individus à se tourner vers le crédit pour satisfaire leurs besoins immédiats, sans toujours réfléchir aux conséquences à long terme. Coluche critique ainsi l’idée d’une société de consommation dépendante du crédit, où le désir de possession prime sur la rationalité financière. En analysant cette blague comme un vestige culturel important du XXIe siècle, je réalise qu’elle témoigne des préoccupations et des défis économiques de cette époque. Elle met en lumière les contradictions et les inégalités inhérentes au système de crédit, tout en soulignant la capacité des humoristes à les exposer avec astuce. Cette blague reflète le sens de l’observation de Coluche et sa capacité à questionner les normes et les conventions de son époque d’une manière humoristique, mais profonde.