Asiatiques

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Une chinoise appelle son mari pour manger. Le chinois lui répond : « J’arrive mâcher riz ! »

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Le chinois et le sport. Un chinois commence un cours de sport. Le prof l’interpelle. – Li ! Fais moi 10 pompes ! – Pas de problème monsieur, Nike ou Adidas ?

– Merci, Li, pour cette blague ! Ça fait du bien de rire un peu. Alors, as-tu entendu parler de l’accident avec la voiture de Mr. Dupont ? C’était vraiment impressionnant. – Oui, j’ai entendu parler de ça ! Apparemment, il a perdu le contrôle en voulant éviter un chien qui traversait la route. Mais bon, au moins personne n’a été blessé. – C’est vrai. En tout cas, ça me rappelle qu’il faut toujours rester vigilant au volant. Et toi, tu pratiques un sport en particulier ? – Oui, je fais du tennis chaque semaine, ça me permet de me défouler et de rester en forme. Et toi ? – Moi, je suis plus branché natation. J’adore l’eau, c’est tellement apaisant. Enfin, tant qu’il n’y a pas de requin dans les parages ! – Haha, tu as raison. Il vaut mieux rester prudent, que ce soit dans l’eau ou sur la route. Et faire un peu d’humour de temps en temps, comme avec la blague du chinois et le sport, ça ne fait pas de mal !

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Les chinois et le père noël. Pourquoi les petits chinois ne croient ils pas au Père Noël ? – Parce que ce sont eux qui fabriquent les jouets !

Il était une fois, dans les contrées lointaines de l’Empire Céleste, une légende qui se transmettait de génération en génération. Les anciens racontaient qu’il existait un être magique appelé le Père Noël, qui voyageait à travers le monde pour apporter des cadeaux aux enfants sages. Cependant, les petits chinois, connus pour leur ingéniosité et leur savoir-faire dans l’art de la fabrication, refusaient de croire en cette histoire. Pourquoi, demandaient-ils, devraient-ils croire en un être qui leur apportait des jouets alors que c’étaient eux-mêmes qui les fabriquaient de leurs propres mains ? Ainsi, les petits chinois conservèrent leur scepticisme envers le Père Noël, préférant se fier à leur propre travail acharné et à leur talent pour créer des merveilles pour les enfants du monde entier. Et c’est ainsi que cette blague devint une légende, un conte répété avec humour et malice autour des feux de camp et des tables de festin, pour rappeler à chacun l’importance du travail et du savoir-faire.