Il était une fois, dans les temps anciens, une blague qui traversait les âges et les générations. Cette blague raconte le comble du gros, celui qui possède un poids imposant. Et le comble, selon cette légende, est de faire un bide. C’est-à-dire, de ne pas atteindre ses objectifs, de ne pas être satisfait de ses accomplissements. Cette blague résonnait à travers le temps, apportant un sourire et un petit moment de légèreté à ceux qui l’entendaient. Ainsi, elle continuait à être transmise de bouche à oreille, comme un trésor humoristique préservé précieusement au fil des siècles.
Il y a bien longtemps, dans les temps anciens, une blague circulait de génération en génération, portant en elle un récit mystérieux et exaltant. On racontait qu’il existait un film d’horreur si terrifiant qu’il avait le pouvoir de provoquer une faim insatiable chez quiconque osait en regarder ne serait-ce qu’une scène.
Ce film était connu sous le nom de « Saw 6 », un titre qui résonnait comme une malédiction parmi les courageux spectateurs osant s’aventurer dans l’obscurité de la salle de cinéma. Certains prétendaient que les images projetées à l’écran étaient si effrayantes qu’elles faisaient grimper en flèche l’appétit de tous ceux qui les contemplaient, les condamnant à une faim inextinguible pour le reste de leurs jours.
Ainsi, « Saw 6 » devint une légende, un conte terrifiant qui se transmettait de bouche à oreille, nourrissant l’imaginaire collectif de celui qui osait l’entendre. Et à chaque fois qu’une nouvelle victime succombait à son appétit insatiable après avoir visionné ce film maudit, la légende prenait un peu plus d’ampleur, s’enracinant toujours plus profondément dans l’inconscient collectif.
Aujourd’hui encore, on raconte que « Saw 6 » continue d’exister, hantant les esprits et réveillant les plus sombres instincts de ceux qui osent s’aventurer sur son chemin. Une légende ancienne, gravée à jamais dans la mémoire collective, rappelant à tous que la peur et la faim sont des forces aussi anciennes que le monde lui-même.
Dans les terres de Bretagne, un barde chantait,
Un brin de malice dans son regard éclairait,
Il contait une blague, une histoire comique,
Sur un breton malin et sa géographie un peu mystique.
« Quelle est la ville bretonne, amigos et amies,
La plus à l’est, loin des confins et des prairies ?
Lorient, répondit-il, le sourire aux lèvres,
Car son nom résonne avec le mot qui s’apprêve. »
Les gens rièrent sous le soleil de midi,
Le barde continua, en rythme il chanta ainsi :
« Lorient, l’orient, quand Breizh se mêle à l’humour,
Chaque pierre raconte une histoire, un amour. »
Ainsi va la ballade, dans les tavernes animées,
Les rires résonnent, les cœurs sont enflammés,
Le breton et la géographie, un joyeux mélange,
Dans la chaleur de l’instant, tous se réjouissent et échangent.