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Le parisien et le sourire. Comment appelle-t-on un Parisien qui sourit ? – Un touriste.

Il était une fois un Parisien du nom de Pierre. Pierre était quelqu’un de très sérieux, toujours pressé et rarement enclin à sourire. Il vivait dans la capitale française depuis de nombreuses années et s’était acclimaté à son rythme de vie trépidant. Les passants dans les rues pouvaient aisément deviner qu’il était un vrai Parisien, rien qu’en observant son visage fermé et son absence de sourire. Un jour, Pierre décida de prendre quelques jours de vacances loin de l’agitation de la ville. Il partit pour une petite station balnéaire en bord de mer, espérant trouver un peu de tranquillité et de détente. Arrivé sur place, il découvrit un monde complètement différent de celui qu’il connaissait habituellement. Les habitants de cette ville étaient joyeux, accueillants et avaient tous le sourire aux lèvres. Pierre se sentait un peu déboussolé, ne comprenant pas pourquoi tout le monde semblait si heureux. Il se promenait sur la plage avec son visage renfrogné, contrastant avec le paysage ensoleillé et les gens qui se divertissaient. Un jour, alors qu’il était assis sur un banc en train de contempler l’horizon, une petite fille l’aperçut et s’approcha timidement de lui. Elle était rayonnante, avec ses yeux pétillants et son sourire radieux. Curieuse et sans filtre, elle lui demanda : « Monsieur, pourquoi vous êtes si triste ? » Pierre, surpris par la remarque de la fillette, ne put s’empêcher de sourire légèrement. Il lui expliqua qu’il venait de Paris et que les Parisiens n’avaient pas l’habitude de sourire autant que les gens de cette ville. La petite fille sembla perplexe, ne comprenant pas pourquoi il était si difficile pour lui de sourire. Elle se mit alors à raconter une blague, celle justement qui tournait autour du Parisien et du sourire. Elle lâcha avec un sourire espiègle : « Comment appelle-t-on un Parisien qui sourit ? – Un touriste ! » Pierre éclata de rire, incapable de résister à l’humour enfantin et à l’innocence de cette fillette. Il réalisa à quel point il était absurde de se priver de sourire, simplement par habitude. Il décida, à cet instant précis, de changer sa façon d’aborder la vie. Reboosté par la petite fille et sa blague, Pierre rentra à Paris avec une nouvelle perspective. Désormais, il arborait un sourire radieux, échangeant des regards complices avec les passants, laissant transparaître sa joie de vivre. Les habitants de la capitale le considéraient avec surprise, se demandant ce qui avait poussé ce Parisien si sérieux à changer ainsi. Pierre avait compris qu’un sourire ne coûtait rien, mais qu’il apportait énormément. Et il continua sa vie dans la capitale en semant le bonheur autour de lui. Désormais, on ne l’appelait plus seulement « le Parisien ». On l’appelait « le touriste souriant ».

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Tu connais la blague du con qui dit non. – Tu connais la blague du con qui dit non ? – Non… – …

Mes chers concitoyens, Aujourd’hui, je souhaite aborder un sujet d’une importance capitale pour l’avenir de notre nation. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, permettez-moi de vous partager une anecdote qui, bien qu’elle puisse sembler légère, illustre parfaitement la notion d’opposition aveugle qui peut parfois régner dans notre société. Connaissez-vous l’histoire du con qui dit non ? Oui, cette blague qui met en scène un individu aussi têtu qu’infatigable dans sa négation systématique. « Tu connais la blague du con qui dit non ? » demande-t-on à cet interlocuteur intransigeant. Et sa réponse évidente, celle qui est attendue de lui, est un franc « Non… » Vous voyez, mes chers concitoyens, cette petite blague cache derrière elle une vérité incontournable : celle de l’obstination irrationnelle de certains individus à refuser toute forme de proposition ou d’idée, simplement pour le plaisir de dire « non ». Pourtant, parfois, il est essentiel de se remettre en question, d’écouter les arguments qui nous sont présentés, et de faire preuve de flexibilité dans nos réflexions. Car c’est précisément ainsi que nous progressons en tant que société, en tant que peuple uni et solidaire. Alors, mes chers concitoyens, faisons en sorte de ne pas être ces « cons » qui disent « non » systématiquement. Soyons ouverts au dialogue, à la compréhension mutuelle, et à la recherche de solutions communes pour le bien de tous. Je vous remercie.

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Quel est le point commun entre un mauvais musicien et un cancre ? Les deux ont de mauvaises notes.

Écoutez, noble auditoire, je vais vous conter, Une légende médiévale, à présent commencée, Dans un temps où les bardes faisaient vibrer les cœurs, Avec rimes et rythmes, dans les plus beaux labeurs. Il était une fois, dans une contrée lointaine, Un musicien, si maladroit, que l’on craignait sa peine, Sa voix était cacophonique, aucune mélodie harmonieuse, Les oreilles des gens saignaient, même les plus pieux. Ce musicien, hélas, était un cancre sans pareil, L’école et les études, il les détestait, c’était son orgueil, Aucune matière ne l’intéressait, il ne faisait que rêvasser, Les notes n’étaient jamais bonnes, il était souvent réprimandé. Un jour, las de sa situation, le musicien décida, D’aller voir un sage, connu pour son savoir-prodigieux, Il lui confia sa peine, ses notes si désastreuses, Et le sage lui répondit, d’une voix calme et sérieuse : « Mon cher ami, je vais vous conter une leçon essentielle, Un point commun se cache entre le cancre et le rebelle, C’est cette triste réalité qui vous fait tant souffrir, Les deux ont de mauvaises notes, il faut l’admettre, le dire. Mais n’oubliez pas, cher musicien intrépide, La musique est un art, où le cœur peut se confondre, Il vous suffit de chercher, de trouver votre son unique, Et alors, mêmes des notes fausses, pourront devenir magiques. Alors, jouez votre musique avec une passion avérée, Cherchez votre mélodie, l’âme de vos accords enflammés, Ne laissez pas les mauvaises notes vous égarer, Car votre musique aura une pureté, inégalée. Ainsi, que résonnent vos chansons dans ce monde enchanté, Que les mélodies s’élèvent, pour tous, en beauté, Car un mauvais musicien, comme un cancre égaré, Peuvent trouver leur voie et grandir en humanité. » Et voilà, noble auditoire, la leçon que j’ai à vous transmettre, N’abandonnez jamais, même lorsque tout semble être à reprendre, La musique, les savoirs, sont des trésors précieux, À chacun de nous de les nourrir, de les rendre valeureux.