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Que fait un employé de chez Sephora à sa pause clope ? Il parfumer.

Aujourd’hui, nous vous partageons une petite anecdote amusante provenant des coulisses de chez Sephora. Vous vous demandez sûrement ce que font les employés de la célèbre boutique de produits de beauté lorsqu’ils prennent leur pause cigarette ? Eh bien, figurez-vous qu’ils en profitent pour… parfumer ! En effet, un employé de chez Sephora a été pris en flagrant délit en train de vaporiser différents parfums sur lui pendant sa pause clope. Un geste bien loin du règlement intérieur de l’entreprise, mais qui ne manque pas de faire sourire ses collègues. Interrogé sur cette étrange habitude, l’employé en question a simplement répondu avec humour : « Quoi de mieux que de sentir bon de la tête aux pieds, même pendant sa pause ? » Une attitude qui dénote de la passion que peuvent avoir les employés de chez Sephora pour les produits qu’ils vendent. Alors la prochaine fois que vous croiserez un employé de chez Sephora en train de fumer à l’extérieur de la boutique, n’hésitez pas à lui demander s’il a besoin d’un petit coup de parfum en plus. Qui sait, peut-être que vous repartirez avec une fragrance de luxe gratuite !

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Pourquoi les boulangers aiment la boxe ? Car ils aiment donner des pains aux autres.

Écoutez, gentes dames et vaillants chevaliers, Une ballade joyeuse, vous allez apprécier. Elle narre une histoire, d’un temps jadis, Où les boulangers, vents favorables, s’en sont gris. Pourquoi les boulangers, me demandez-vous, Affectionnaient la boxe, ô public avide et doux ? La réponse est simple, mes amis écoutez, Dans cette ballade, elle vous sera révélée. Au cœur du Moyen Âge, en un petit village, Se tenait une boulangerie, digne d’éloges et d’hommages. Mais les boulangers, de nature revêche, Affichaient un étrange goût pour les mêlées frêches. Au marché voisin, par tous ils étaient redoutés, Car aux autres, mes amis, ils donnaient des pains croustillants. Pas les pains de mie, ni les viennoiseries légères, Non, des coups assénés avec audace et fière allure. Les boulangers boxeurs, beaux bardes d’un art martial, Mélangeaient farine et poings, mettant à mal Leurs adversaires déconfits, oh quel spectacle ! Leurs mains habiles dansaient, un véritable miracle. Leurs poings levés haut, tels des pâtes levées dans le four, Dans l’arène ils bondissaient, tels des boulangers fiers et forts. Ils régalaient le public, de puissants uppercuts, Et délivraient des couleurs aux visages un peu trop bruts. Et la foule en délire, les acclamait sans fin, Pour leur talent unique, leur force et leur destin. Car le boulanger boxeur était une figure, Symbole d’espoir et de pain, au cœur des aventures. « Pourquoi donc aiment-ils donner des pains ? », me direz-vous, Et bien, mes amis, je vais vous l’expliquer, écoutez-moi : Car au-delà des rires et des combats épiques, Les boulangers boxeurs, d’abord et avant tout, étaient des amis magnifiques. Quand un ami avait faim, un peu douloureux de la mâchoire, Le boulanger lui offrait du pain, comme on offre une victoire. Leur amour pour la boxe n’était qu’un doux prétexte, Pour nourrir les âmes blessées, de pains savoureux sans fautes. Ainsi, mes amis, sachez en cette ballade, Que les boulangers boxeurs, d’autrefois en cascade, Aimaient la boxe pour les autres, un geste de bonté, Et d’amitié sincère, pour leurs frères épuisés. Alors saluez ces combattants de la farine, Ces héros du quotidien, gardiens des tartines. Et peut-être, qui sait, un jour entendrez-vous, Dans votre tavernes préférées, la légende de ces boxeurs fous.