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Un cheval dit Ă  un zĂšbre : Yo mon pote, pourquoi tu es en prison ?

Jean : Hey Luc, j’ai une blague Ă  te raconter ! Un cheval dit Ă  un zĂšbre : Yo mon pote, pourquoi tu es en prison ? Luc : Ahaha ! Je ne sais pas, Jean, pourquoi est-ce qu’il est en prison ? Jean : Parce qu’il est accusĂ© de vols Ă  rayures armĂ©es ! Ahaha ! Luc : Hahaha ! C’est vraiment drĂŽle ! Mais attends, pourquoi un zĂšbre volerait-il quoi que ce soit ? Jean : Eh bien, tu sais, les zĂšbres sont toujours en train de se faire remarquer avec leurs rayures tape-Ă -l’Ɠil. Alors peut-ĂȘtre que notre zĂšbre voulait juste montrer que ses rayures Ă©taient belles et uniques ! Luc : Hahaha ! Mais ça ne changera rien au fait qu’il est en prison maintenant ! Imagine s’il essayait de s’Ă©chapper avec toutes ses rayures, les gardiens le repĂ©reraient en un rien de temps ! Jean : Hahaha ! Tu as raison, Luc ! Les rayures du zĂšbre ne sont peut-ĂȘtre pas un super avantage quand il s’agit de se cacher ! Mais au moins, il se dĂ©marque dans la foule ! Luc : Oui, c’est sĂ»r ! Et puis, s’il s’ennuie en prison, il pourra toujours jouer aux Ă©checs avec les autres dĂ©tenus. Ils pourront facilement repĂ©rer sa piĂšce, mĂȘme en plein milieu de la nuit ! Jean : Hahaha ! C’est vrai ! On raconte mĂȘme qu’il est le champion incontestĂ© des Ă©checs en prison grĂące Ă  ses rayures distinctives ! Personne ne peut le battre ! Luc : Hahaha ! Le pauvre zĂšbre, emprisonnĂ© Ă  cause de ses rayures, mais en mĂȘme temps, il en tire le meilleur parti ! Jean : Ahaha ! C’est ça qui est gĂ©nial avec les blagues, Luc, on peut inventer n’importe quoi et s’amuser de l’absurditĂ© de la situation ! Vive l’imagination ! Luc : Absolument, Jean ! Et vive les conversations hilarantes entre amis !

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Qu’est-ce qui est jaune et qui va trĂšs vite ? Un citron pressĂ© !

Il Ă©tait une fois, dans une petite ville ensoleillĂ©e, vivait un citron pressĂ© du nom de Limon. Avec sa robe jaune Ă©clatante et son visage toujours amical, Limon Ă©tait l’un des citrons les plus apprĂ©ciĂ©s de la rĂ©gion. Un jour, alors qu’il se promenait dans le marchĂ© local, un groupe d’amis dĂ©cida de lui jouer un tour. Ils rangĂšrent Limon dans un petit sac et se mirent Ă  courir Ă  toutes jambes. Dans le sac, Limon commençait Ă  se sentir secouĂ© et totalement dĂ©sorientĂ©. Il essaya d’appeler Ă  l’aide, mais tout ce qui sortait de sa bouche Ă©tait un petit « squiiiiz ». Les amis se dĂ©pĂȘchĂšrent de rejoindre leur ami LĂ©o, un coureur passionnĂ©. « HĂ© LĂ©o, devine ce que nous avons ici ! Un citron pressĂ© qui pense qu’il peut te battre dans une course ! » criĂšrent-ils en libĂ©rant Limon de son confinement. LĂ©o n’en revenait pas. Il ne pouvait s’empĂȘcher de rire en regardant le pauvre Limon tout Ă©tourdi. « Alors, comme ça, tu penses que tu peux rivaliser avec moi, le lĂ©gendaire LĂ©o, en termes de vitesse ? » dit-il en se retenant de rire. Limon, rĂ©alisant qu’il avait Ă©tĂ© pris dans une blague, dĂ©cida de relever le dĂ©fi moins par vanitĂ© que par fiertĂ©. « Je suis un citron pressĂ©, mais ne vous mĂ©prenez pas, je suis rapide comme l’Ă©clair ! » rĂ©pliqua-t-il avec dĂ©termination. La foule commença Ă  s’amasser autour d’eux, excitĂ©e par ce curieux duel. LĂ©o et Limon se placĂšrent sur la ligne de dĂ©part, prĂȘts Ă  en dĂ©coudre. Un coup de sifflet retentit, et c’Ă©tait parti ! LĂ©o, avec ses muscles puissants, partit comme une flĂšche, laissant Limon loin derriĂšre lui. Mais Ă  la surprise gĂ©nĂ©rale, Limon se mit Ă  rouler Ă  une vitesse incroyable, rattrapant petit Ă  petit son adversaire. Le public Ă©tait Ă©bahi. Ils n’avaient jamais vu un citron se dĂ©placer aussi vite. Les enfants riaient et les adultes applaudissaient en encourageant Limon. Pendant ce temps, LĂ©o commençait Ă  sentir la fatigue. Ses jambes le portaient de plus en plus lourdement, tandis que Limon, grĂące Ă  sa forme ronde, roulait sans aucun effort. De plus, chaque rebond de Limon sur le sol l’envoyait encore plus loin et plus vite. Le visage de LĂ©o Ă©tait rouge de l’effort tandis que celui de Limon affichait un sourire radieux. Limon avait dĂ©sormais pris de l’avance sur LĂ©o, et il ne restait plus que quelques mĂštres avant la ligne d’arrivĂ©e. Finalement, Limon franchit la ligne en premier, sous les applaudissements et les cris de joie de la foule. LĂ©o, Ă©puisĂ©, s’effondra sur le sol juste aprĂšs avoir franchi la ligne d’arrivĂ©e. Les amis qui avaient organisĂ© la blague Ă©taient stupĂ©faits. Limon se dirigea vers LĂ©o et lui tendit une main amicale. « C’Ă©tait une belle course, LĂ©o. Merci de m’avoir donnĂ© l’occasion de montrer ce dont je suis capable. » LĂ©o, encore essoufflĂ©, sourit et serra la main de Limon. « Tu m’as bien eu, Limon. J’admets que je te sous-estimais. » La foule se dispersa peu Ă  peu, laissant LĂ©o et Limon discuter de leur aventure. Ils rĂ©alisĂšrent qu’ils avaient beaucoup en commun et devinrent de bons amis. DĂšs lors, Limon n’Ă©tait plus seulement le citron pressĂ© de la ville, mais aussi le citron le plus rapide. Et chaque fois qu’il passait Ă  cĂŽtĂ© de ses amis qui lui avaient jouĂ© le tour, il leur lançait un clin d’Ɠil et un grand sourire, leur rappelant qu’il ne faut jamais sous-estimer un citron pressĂ©.

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Le geek et le binaire. T’es tellement geek que ta vie en code binaire se rĂ©sume Ă  0.

Jean : HĂ© Luc, tu sais comment on reconnaĂźt un vrai geek ? Luc : Non, raconte-moi ! Jean : Eh bien, si ta vie en code binaire se rĂ©sume Ă  zĂ©ro, tu es dĂ©finitivement un geek ! Luc : Ahah, c’est pas faux ! Mais attends, toi aussi tu peux vivre en binaire ? Jean : Oh non, je suis plutĂŽt du genre Ă  prĂ©fĂ©rer le Wi-Fi, les Ă©moticĂŽnes et les GIFs animĂ©s ! Luc : Ah, je vois… Tu as tout de mĂȘme rĂ©ussi Ă  rĂ©sister Ă  la tentation du binaire, alors ! Jean : Oui, j’ai la chance de ne pas me sentir trop attirĂ© par les suites de 0 et de 1. Mais toi, Luc, dis-moi, comment est-ce que tu passes tes journĂ©es en code binaire ? Luc : Haha ! Eh bien, imagine-toi entourĂ© de zĂ©ros et de uns toute la journĂ©e. Je me rĂ©veille avec un 0 dans mon bol de cĂ©rĂ©ales, je conduis ma voiture avec des 1 sur le tableau de bord, je travaille sur un ordinateur rempli de bits… C’est mitigeant, mais c’est devenu ma vie ! Jean : Wow, je ne savais pas que le binaire pouvait ĂȘtre aussi envahissant ! Et… est-ce que tu rencontres des problĂšmes au quotidien Ă  cause de ça ? Luc : Oh oui, parfois je mĂ©lange tout ! Par exemple, un jour, je suis allĂ© commander un cafĂ© et j’ai demandĂ© un « double expresso 0101 ». Le barista m’a regardĂ© avec des gros yeux ! Jean : Hahaha, je ne peux pas t’en vouloir, le binaire te suit partout ! Mais surtout, je suis curieux… Est-ce que tu as une vie sociale en dehors de tous ces zĂ©ros et uns ? Luc : Eh bien, mes amis me reprochent parfois de passer plus de temps avec mon ordinateur qu’avec eux. Mais bon, on peut dire que je suis assez sociable en ligne ! Jean : Ah, c’est vrai que tu es le roi des rĂ©seaux sociaux ! Mais dis-moi, as-tu dĂ©jĂ  essayĂ© de convertir quelque chose en binaire, juste pour le plaisir ? Luc : Bien sĂ»r ! Un jour, j’ai voulu Ă©crire un poĂšme d’amour en binaire pour une fille que j’aimais bien. Mais quand je le lui ai donnĂ©, elle m’a regardĂ© d’un air confus et m’a dit : « Luc, c’est juste une suite de zĂ©ros et de uns ». Je lui ai rĂ©pondu que c’Ă©tait le langage de l’amour… Ă  ma maniĂšre ! Jean : Ahah, quel romantique tu fais ! Et elle, qu’a-t-elle fait ? Luc : Elle m’a souri et m’a dit qu’elle prĂ©fĂ©rait les mots doux… en langage humain ! J’ai compris que le binaire n’Ă©tait peut-ĂȘtre pas la meilleure maniĂšre de sĂ©duire. Jean : C’est sĂ»r ! Mais au moins, tu as essayĂ©. Et puis, qui sait, peut-ĂȘtre qu’un jour tu rencontreras une geekette qui comprendra parfaitement ton langage ! Luc : Ah, ce serait le rĂȘve ! Mais en attendant, je vais continuer Ă  m’amuser avec mes suites de zĂ©ros et de uns. Et toi, Jean, tu resteras toujours mon ami, mĂȘme si tu ne comprends pas toujours mon amour pour le binaire. Jean : Bien sĂ»r, Luc ! Et qui sait, peut-ĂȘtre qu’un jour je me mettrai moi aussi au binaire, juste pour te faire plaisir ! Luc : Ah, ce serait gĂ©nial ! Mais pour l’instant, allons prendre un cafĂ©… et cette fois, sans zĂ©ros et uns !