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Pourquoi les vampires sont-ils si bien Ă©duquĂ©s ? Parce qu’ils ont appris Ă  ne pas mordre la main qui les nourrit !

Il Ă©tait une fois dans un petit village tranquille, vivait un vampire nommĂ© Vlad. Contrairement Ă  la plupart des vampires, Vlad avait une particularitĂ© : il Ă©tait incroyablement bien Ă©duquĂ©. Tout le monde se demandait pourquoi il Ă©tait si diffĂ©rent des autres crĂ©atures de la nuit. La lĂ©gende racontait qu’il avait Ă©tĂ© Ă©levĂ© par une famille humaine lorsqu’il Ă©tait encore un jeune vampire. Ses parents adoptifs, Boris et Irina, Ă©taient conscients de sa nature effrayante, mais ils ne le laissaient pas le dĂ©courager. Au lieu de cela, ils l’ont recueilli et l’ont Ă©levĂ© avec autant d’amour, de soin et d’Ă©ducation qu’ils le pouvaient. Vlad avait grandi entourĂ© de livres, de tableaux et d’instruments de musique. Boris Ă©tait un grand amateur de musique classique et jouait du violon tous les soirs, et il a appris Ă  Vlad Ă  apprĂ©cier la musique. Irina, quant Ă  elle, Ă©tait une grande amatrice de théùtre et a emmenĂ© Vlad voir toutes les reprĂ©sentations qu’ils pouvaient trouver. Les voisins du couple Ă©taient perplexes face Ă  cette situation inhabituelle. Chaque jour, ils observaient Vlad sortir en plein jour, non pas pour chasser du sang, mais pour aller Ă  l’Ă©cole avec les autres enfants du village. Non seulement Vlad Ă©tait bien Ă©levĂ©, mais il Ă©tait Ă©galement un excellent Ă©lĂšve, maĂźtrisant tous les sujets comme un vĂ©ritable prodige. Les annĂ©es passĂšrent et Vlad grandit. Il Ă©tait respectĂ© et aimĂ© de tous les villageois. Cependant, il y avait une rĂšgle qu’il n’avait jamais pu se dĂ©faire : il ne pouvait pas mordre la main qui l’avait nourri. Boris et Irina lui avaient inculquĂ© cette valeur dĂšs son plus jeune Ăąge. Les vampires de son Ăąge se moquaient de lui, disant qu’il n’Ă©tait pas un vrai vampire. Mais Vlad n’en avait que faire, il Ă©tait fier d’ĂȘtre diffĂ©rent. Alors qu’il Ă©tait devenu un jeune adulte, Vlad dĂ©cida qu’il Ă©tait temps pour lui de quitter le village pour explorer le reste du monde. Il dit adieu Ă  Boris et Irina, leur assurant qu’il ne les oublierait jamais, mais qu’il avait besoin de vivre sa propre vie et de trouver sa place dans le monde. Avec une valise pleine de livres, de partitions de musique et de souvenirs, Vlad s’envola vers de nouvelles aventures. Il finit par devenir un cĂ©lĂšbre pianiste, jouant dans les plus grandes salles de concert. Les gens n’avaient jamais vu un vampire aussi talentueux et poli. Et lorsqu’on lui demandait pourquoi il Ă©tait si bien Ă©duquĂ©, Vlad rĂ©pondait toujours avec un sourire : « C’est grĂące Ă  Boris et Irina, mes parents adoptifs. Ils m’ont appris Ă  ne jamais mordre la main qui me nourrit, que ce soit au sens propre ou figurĂ©. » Sa rĂ©ponse dĂ©clenchait toujours des Ă©clats de rire, car aprĂšs tout, qui aurait pu imaginer qu’un vampire puisse ĂȘtre si bien Ă©levĂ© et drĂŽle Ă  la fois ?

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Pourquoi les monstres n’utilisent-ils jamais de rĂ©seaux sociaux ? Parce qu’ils ont peur des trolls !

Titre: Les monstres prĂ©fĂšrent Ă©viter les trolls sur les rĂ©seaux sociaux ! Chers lecteurs, aujourd’hui nous allons plonger dans un monde mystĂ©rieux, oĂč les monstres et les trolls se rencontrent… ou plutĂŽt, s’Ă©vitent habilement sur les rĂ©seaux sociaux ! Si vous vous demandez pourquoi vous n’avez jamais vu le PĂšre NoĂ«l poster un selfie avec le monstre du Loch Ness, la rĂ©ponse est simple : les monstres ont peur des trolls ! Mais pourquoi cette peur ancestrale des trolls ? Est-ce leur apparence dĂ©stabilisante ou leurs commentaires dĂ©sagrĂ©ables qui les effraient tant ? Allons Ă  la rencontre de ces crĂ©atures mythiques pour comprendre leur point de vue. Notre premiĂšre rencontre est avec le Monstre du placard, qui nous confie : « J’ai longtemps hĂ©sitĂ© Ă  crĂ©er un compte Instagram pour partager mes styles vestimentaires effrayants. Mais dĂšs que j’ai postĂ© ma premiĂšre photo, les trolls ont envahi les commentaires en me disant que j’Ă©tais passĂ© de la mode « effroi chic » Ă  « ringard lugubre ». C’est dur Ă  encaisser… » En suivant les traces du Monstre du placard, nous arrivons devant le Moldu Grognon, une crĂ©ature poilue, moitiĂ© homme moitiĂ© troll. Il nous raconte son expĂ©rience avec les rĂ©seaux sociaux : « Les monstres ont cette image effrayante qu’ils essaient de prĂ©server depuis des siĂšcles. Mais les trolls sont lĂ  pour ridiculiser nos poils Ă©bouriffĂ©s, nos verrues et mĂȘme notre haleine fĂ©tide. Je prĂ©fĂšre encore Ă©viter d’y aller et prendre mon mal en patience. » La Bloutte, un monstre abominable Ă  quelques poils prĂšs, intervient dans la conversation : « L’une des raisons pour lesquelles les monstres fuient les rĂ©seaux sociaux est parce que nous ne voulons pas ĂȘtre confondus avec ces trolls. Ce n’est pas parce que nous prĂŽnons le chaos et la terreur que nous apprĂ©cions les commentaires blessants. Nous avons des standards, vous savez ? » AprĂšs avoir recueilli ces tĂ©moignages touchants, nous dĂ©cidons de plonger encore plus profondĂ©ment dans le monde des trolls pour comprendre leur fascination pour les monstres. Malheureusement, le seul troll que nous avons rĂ©ussi Ă  trouver Ă©tait cachĂ© sous le pont des Lutins Rieurs et semblait plus intĂ©ressĂ© par nos chaussures que par notre enquĂȘte. Les monstres et les trolls, deux espĂšces bien diffĂ©rentes, continuent donc de se tenir Ă  distance sur les rĂ©seaux sociaux. Entre la vanitĂ© exacerbĂ©e des monstres et la jovialitĂ© sans limites des trolls, il semble impossible de trouver un terrain d’entente. Alors la prochaine fois que vous ĂȘtes sur vos rĂ©seaux sociaux, mes chers lecteurs, pensez aux monstres qui travaillent dur pour maintenir notre peur ancestrale. Et laissons les trolls dans leur coin, Ă  poster des commentaires piquants sans rĂ©flĂ©chir. Une chose est certaine : les monstres prĂ©fĂšrent certainement les cris horrifiĂ©s Ă  leurs notifications Facebook ! Note de l’auteur : Bien sĂ»r, cette histoire est purement fictive et ne reflĂšte pas la rĂ©alitĂ© des monstres et des trolls (qui, rappelons-le, n’existent pas). Cet article est avant tout une blague et doit ĂȘtre pris avec humour et lĂ©gĂšretĂ©.

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Un cheval dit Ă  un zĂšbre : Yo mon pote, pourquoi tu es en prison ?

Jean : Hey Luc, j’ai une blague Ă  te raconter ! Un cheval dit Ă  un zĂšbre : Yo mon pote, pourquoi tu es en prison ? Luc : Ahaha ! Je ne sais pas, Jean, pourquoi est-ce qu’il est en prison ? Jean : Parce qu’il est accusĂ© de vols Ă  rayures armĂ©es ! Ahaha ! Luc : Hahaha ! C’est vraiment drĂŽle ! Mais attends, pourquoi un zĂšbre volerait-il quoi que ce soit ? Jean : Eh bien, tu sais, les zĂšbres sont toujours en train de se faire remarquer avec leurs rayures tape-Ă -l’Ɠil. Alors peut-ĂȘtre que notre zĂšbre voulait juste montrer que ses rayures Ă©taient belles et uniques ! Luc : Hahaha ! Mais ça ne changera rien au fait qu’il est en prison maintenant ! Imagine s’il essayait de s’Ă©chapper avec toutes ses rayures, les gardiens le repĂ©reraient en un rien de temps ! Jean : Hahaha ! Tu as raison, Luc ! Les rayures du zĂšbre ne sont peut-ĂȘtre pas un super avantage quand il s’agit de se cacher ! Mais au moins, il se dĂ©marque dans la foule ! Luc : Oui, c’est sĂ»r ! Et puis, s’il s’ennuie en prison, il pourra toujours jouer aux Ă©checs avec les autres dĂ©tenus. Ils pourront facilement repĂ©rer sa piĂšce, mĂȘme en plein milieu de la nuit ! Jean : Hahaha ! C’est vrai ! On raconte mĂȘme qu’il est le champion incontestĂ© des Ă©checs en prison grĂące Ă  ses rayures distinctives ! Personne ne peut le battre ! Luc : Hahaha ! Le pauvre zĂšbre, emprisonnĂ© Ă  cause de ses rayures, mais en mĂȘme temps, il en tire le meilleur parti ! Jean : Ahaha ! C’est ça qui est gĂ©nial avec les blagues, Luc, on peut inventer n’importe quoi et s’amuser de l’absurditĂ© de la situation ! Vive l’imagination ! Luc : Absolument, Jean ! Et vive les conversations hilarantes entre amis !