Certains arrivent Ă faire des O en expirant la fumĂ©e d’un cigare. Chuck Norris, lui, sait reproduire l’intĂ©gralitĂ© de l’alphabet chinois.
Il Ă©tait une fois un homme nommĂ© Jean, un fumeur passionnĂ© de cigares. Jean Ă©tait fier de sa capacitĂ© Ă souffler des O parfaits avec la fumĂ©e de ses cigares, et il aimait impressionner ses amis lors des soirĂ©es entre fumeurs. Un jour, lors d’une soirĂ©e bien arrosĂ©e, quelqu’un fit une remarque qui attira l’attention de Jean. « Tu sais, Jean, certains prĂ©tendent pouvoir faire des O en Ă©crivant leur nom avec la fumĂ©e, mais personne ne peut rivaliser avec Chuck Norris ! » Tout le monde Ă©clata de rire, mais Jean fut piquĂ© au vif. « Chuck Norris ?! Qui est cet homme pour prĂ©tendre rivaliser avec moi ?! » pensa-t-il. Alors, il dĂ©cida de relever le dĂ©fi et de montrer Ă tous qu’il pouvait faire bien plus que des O en fumĂ©e. Le lendemain, Jean se mit Ă s’entraĂźner sans relĂąche. Il soufflait, aspirait, et expirait de la fumĂ©e en formant des cercles parfaits. Mais il comprenait qu’il devait aller plus loin s’il voulait vaincre Chuck Norris. Il se mit Ă Ă©tudier l’alphabet chinois et ses caractĂšres complexes. Chaque soir, Jean pratiquait en essayant de reproduire les caractĂšres avec la fumĂ©e de son cigare. Il passait des heures Ă s’entraĂźner, sa chambre devenant rapidement enfumĂ©e. Finalement, aprĂšs des semaines d’efforts acharnĂ©s, Jean Ă©tait prĂȘt. Il invita tous ses amis Ă assister Ă sa grande dĂ©monstration. L’excitation Ă©tait palpable lorsque Jean prit son cigare et commença Ă souffler de la fumĂ©e. Ă la surprise gĂ©nĂ©rale, la fumĂ©e se forma d’abord en cercles parfaits, puis se mĂ©tamorphosa lentement en caractĂšres chinois complexes. Jean Ă©crivait chaque caractĂšre avec une prĂ©cision incroyable, impressionnant tout le monde autour de lui. Pourtant, au milieu de la dĂ©monstration, une voix s’Ă©leva dans la foule. « Excusez-moi, mais je pense qu’il y a mĂ©prise ici. » Les regards se tournĂšrent vers l’homme qui avait parlĂ©, et tout le monde resta bouche bĂ©e en voyant Chuck Norris lui-mĂȘme se tenir lĂ , le sourire aux lĂšvres. « Jean, tu as fait un excellent travail, mais laisse-moi te montrer comment le maĂźtre le fait vraiment. » Chuck Norris prit son propre cigare et, d’une simple expiration, produisit une fumĂ©e qui se transforma instantanĂ©ment en chaque caractĂšre chinois connu de l’humanitĂ©. Le silence s’abattit sur la foule alors que chacun rĂ©alisait l’ampleur de l’exploit. Jean sourit humblement et accepta sa dĂ©faite. Il avait appris une grande leçon ce jour-lĂ : personne ne pouvait rivaliser avec Chuck Norris, pas mĂȘme dans l’art de la rĂ©alisation de caractĂšres chinois avec de la fumĂ©e de cigare. Ă partir de ce jour, Jean utilisa ses talents pour enseigner Ă d’autres passionnĂ©s la technique des O en fumĂ©e, mais il savait toujours qu’il y avait quelqu’un de plus grand que lui. Chuck Norris resterait toujours le maĂźtre incontestĂ© de l’alphabet chinois, qu’il utilise un crayon ou un cigare.