Célébrités

MaĂźtre Yoda et le dindon. Que dit MaĂźtre Yoda quand il aperçoit un dindon noir ? – Toujours du cĂŽtĂ© obscur de la farce, le dindon est.

Le cĂ©lĂšbre MaĂźtre Yoda, personnage emblĂ©matique de la saga Star Wars, ne cesse de faire parler de lui avec ses rĂ©pliques cultes et son humour dĂ©calĂ©. Et cette fois-ci, c’est en croisant un dindon noir que le petit maĂźtre Jedi a encore frappĂ©. En effet, lorsqu’il aperçoit un dindon noir, MaĂźtre Yoda lĂąche avec son accent si particulier : « Toujours du cĂŽtĂ© obscur de la farce, le dindon est ». Une phrase qui a aussitĂŽt fait rire tous ceux qui Ă©taient prĂ©sents sur les lieux, et qui est rapidement devenue virale sur les rĂ©seaux sociaux. Il semblerait que mĂȘme dans un univers oĂč rĂšgne la force et les combats intergalactiques, l’humour n’est jamais bien loin. Et MaĂźtre Yoda, avec son intelligence et sa sagesse, sait parfaitement comment distiller une touche d’humour dans chaque situation. Alors la prochaine fois que vous croiserez un dindon noir, n’oubliez pas la rĂ©plique de MaĂźtre Yoda et laissez-vous emporter du cĂŽtĂ© obscur de la farce.

Devinettes

Le breton et la gĂ©ographique. Quelle est la ville de Bretagne la plus Ă  l’est ? – Lorient (l’orient).

Dans les terres de Bretagne, un barde chantait, Un brin de malice dans son regard Ă©clairait, Il contait une blague, une histoire comique, Sur un breton malin et sa gĂ©ographie un peu mystique. « Quelle est la ville bretonne, amigos et amies, La plus Ă  l’est, loin des confins et des prairies ? Lorient, rĂ©pondit-il, le sourire aux lĂšvres, Car son nom rĂ©sonne avec le mot qui s’apprĂȘve. » Les gens riĂšrent sous le soleil de midi, Le barde continua, en rythme il chanta ainsi : « Lorient, l’orient, quand Breizh se mĂȘle Ă  l’humour, Chaque pierre raconte une histoire, un amour. » Ainsi va la ballade, dans les tavernes animĂ©es, Les rires rĂ©sonnent, les cƓurs sont enflammĂ©s, Le breton et la gĂ©ographie, un joyeux mĂ©lange, Dans la chaleur de l’instant, tous se rĂ©jouissent et Ă©changent.

Chuck Norris

Chuck Norris et l’école. A l’école, le professeur devait lever la main pour parler Ă  Chuck Norris.

Dans une petite Ă©cole de banlieue, le professeur Johnson avait dĂ©cidĂ© d’enseigner la lĂ©gende de Chuck Norris Ă  ses Ă©lĂšves de cinquiĂšme annĂ©e. Il avait prĂ©vu de partager quelques faits amusants sur Chuck Norris pour dĂ©tendre l’atmosphĂšre et susciter l’intĂ©rĂȘt des enfants. L’histoire se dĂ©roulait lors d’un cours de mathĂ©matiques. Le professeur Johnson, arborant son plus grand sourire, posa une question Ă  la classe : « Quel est le rĂ©sultat de l’addition de deux et deux? » La petite ZoĂ©, une Ă©lĂšve particuliĂšrement espiĂšgle, leva immĂ©diatement la main. Le professeur Johnson, se souvenant de la blague sur Chuck Norris, dĂ©cida de jouer le jeu et dit : « Oui, ZoĂ©, tu peux rĂ©pondre, mais rappelle-toi que tu dois lever la main pour parler Ă  Chuck Norris. » Les enfants Ă©clatĂšrent de rire en entendant cette consigne un peu farfelue. ZoĂ©, espiĂšgle comme Ă  son habitude, se leva de son siĂšge, fit mine de tendre la main en direction du plafond, puis rĂ©pondit : « Professeur, je lĂšve la main pour parler Ă  Chuck Norris. Je pense que le rĂ©sultat de l’addition de deux et deux est vraiment facile pour lui. Il fait apparaĂźtre une paire de bottes de cowboy et peut alors donner un coup de pied Ă  la rĂ©ponse jusqu’Ă  ce qu’elle soit correcte. Ainsi, la rĂ©ponse est quatre, bien sĂ»r ! » Les Ă©lĂšves Ă©taient hilares, se demandant comment ils n’avaient jamais pensĂ© Ă  une rĂ©ponse aussi dĂ©lirante auparavant. Cependant, le professeur Johnson, admirant l’imagination de ZoĂ©, poursuivit sur sa lancĂ©e en demandant Ă  un autre Ă©lĂšve de lever la main pour parler Ă  Chuck Norris. Cette fois-ci, c’Ă©tait Victor, un jeune garçon aux idĂ©es farfelues, qui se leva. Il se tint debout, la main levĂ©e, mais avec un regard sĂ©rieux sur son visage. IntriguĂ©, le professeur Johnson lui donna la parole. « Professeur, je soulĂšve une question vraiment importante pour Chuck Norris », dit Victor d’un ton solennel. « Est-ce que Chuck Norris peut diviser par zĂ©ro? » La classe Ă©clata de rire devant cette interrogation philosophique. Le professeur Johnson avait du mal Ă  garder son sĂ©rieux. Il rĂ©pondit en suivant la blague : « Victor, Chuck Norris est un homme incroyablement puissant, mais diviser par zĂ©ro dĂ©passe mĂȘme ses compĂ©tences lĂ©gendaires. Lorsque Chuck Norris essaie de diviser par zĂ©ro, le monde tremble et tout devient absurde ! » Les enfants riaient tellement fort que leur rire rĂ©sonnait Ă  travers les couloirs de l’Ă©cole. Le professeur Johnson se rendit compte que cette blague sur Chuck Norris avait fait des merveilles pour crĂ©er une atmosphĂšre dĂ©tendue et amusante en classe. C’est ainsi que les Ă©lĂšves de l’Ă©cole de banlieue dĂ©couvrirent l’efficacitĂ© d’une blague drĂŽle et rĂ©aliste sur Chuck Norris. Non seulement ils apprirent des faits intĂ©ressants sur cet homme lĂ©gendaire, mais ils rĂ©alisĂšrent Ă©galement que l’humour pouvait Ă©gayer une journĂ©e et rapprocher les gens. Et depuis ce jour-lĂ , chaque fois que quelqu’un voulait parler de Chuck Norris dans cette Ă©cole, il lui suffisait de lever la main, lui aussi, pour entamer une conversation drĂŽle et passionnante.