Célébrités

Simpsons – Les vieux. Les personnes ĂągĂ©es n’ont pas besoin de compagnie. Ils doivent ĂȘtre isolĂ©s et Ă©tudiĂ©s afin de pouvoir dĂ©terminer quels Ă©lĂ©ments nutritifs pourraient ĂȘtre extraits pour notre usage personnel.

Personne 1 (Jean): Hey Paul, as-tu entendu parler de cette histoire de scientifiques qui Ă©tudient les personnes ĂągĂ©es pour en extraire des Ă©lĂ©ments nutritifs ? Personne 2 (Paul): Ah oui, c’est absolument hilarant ! J’ai lu un article Ă  ce sujet. Apparemment, ces scientifiques auraient Ă©tĂ© inspirĂ©s par un Ă©pisode des Simpsons. Tu sais, celui oĂč les habitants de Springfield proposent d’utiliser les personnes ĂągĂ©es comme source d’Ă©nergie pour la ville. Jean: Oh, je me souviens de cet Ă©pisode ! Mais sĂ©rieusement, est-ce que ces scientifiques ont vraiment envisagĂ© une telle idĂ©e ? Paul: Eh bien, d’aprĂšs l’article, l’idĂ©e serait de les isoler complĂštement et de tester leur rĂ©gime alimentaire pour voir s’il y aurait des nutriments prĂ©cieux que nous pourrions extraire. Jean: C’est Ă  la fois effrayant et hilarant ! Je ne peux pas m’empĂȘcher de penser Ă  mes grands-parents. Leur demander s’ils seraient d’accord pour ĂȘtre « étudiĂ©s » de cette maniĂšre serait plutĂŽt comique. Paul: Oh, imagine leurs rĂ©actions ! Je peux dĂ©jĂ  les entendre me dire : « Alors comme ça, tu veux me mettre en bocal pour voir quelles vitamines je pourrais fournir ? » Jean: Haha, exactement ! Mais bon, blague Ă  part, je suis content que ce ne soit qu’une idĂ©e farfelue. Les personnes ĂągĂ©es mĂ©ritent d’ĂȘtre respectĂ©es et accompagnĂ©es, pas traitĂ©es comme des cobayes. Paul: Absolument, Jean. Tout Ă  fait d’accord avec toi. Les gens devraient plutĂŽt profiter de leur sagesse et de leur expĂ©rience. Mais je dois avouer que cette blague des Simpsons restera toujours un classique.

Devinettes

A et A’ sont sur un bateau sur un bateau. A tombe Ă  l’eau, que fait A’ ? Il dĂ©rive.

A: Oh la la, j’ai entendu une histoire tellement drĂŽle aujourd’hui ! Tu veux que je te la raconte ? A’: Bien sĂ»r, je suis tout ouĂŻe ! Raconte-moi cette histoire. A: Alors voilĂ , il y avait deux personnes, A et A’, qui Ă©taient sur un bateau. Comme le dit la blague, A tombe Ă  l’eau. Mais devine ce que fait A’ ? A’: Hmm, je ne sais pas… Il saute Ă  l’eau pour aider A ? A: Non, pas du tout ! Il dĂ©rive ! Tu te souviens, la blague dit bien : « A tombe Ă  l’eau, que fait A’ ? Il dĂ©rive ». A’: Ahahah ! TrĂšs drĂŽle en effet ! C’est plein d’ironie. J’imagine la situation complĂštement absurde. A: Exactement ! Et tu sais ce qui rend cette histoire encore plus hilarante ? A et A’ sont en rĂ©alitĂ© de vĂ©ritables amis qui adorent jouer des tours comme ça. A’: Vraiment ? Ces deux-lĂ  sont vraiment plein d’esprit ! J’imagine qu’ils doivent rendre leur entourage fou avec leurs blagues. A: Oh, tu peux le dire ! Je ne peux qu’imaginer la tĂȘte de leurs amis quand ils racontent cette histoire lors des soirĂ©es entre eux. A’: Haha, ils doivent bien rigoler ! J’espĂšre qu’un jour, je pourrai rencontrer A et A’ pour partager encore plus de fous rires avec eux. A: Ne t’inquiĂšte pas, je suis sĂ»r qu’une occasion se prĂ©sentera. En attendant, continuons de partager ces histoires amusantes entre nous ! A’: Absolument, c’est toujours un plaisir de passer du temps avec toi et de partager de bons moments.

Jeux de mots

J’ai dit une blague sur le dĂ©sert du Sahara, mais elle n’a pas plu.

Au temps jadis, dans les contrĂ©es lointaines, Un barde allait de village en domaine, Portant en son cƓur des histoires Ă  conter, Des chansons et des rires Ă  partager. Un soir, prĂšs d’un feu dans un chĂąteau fort, Le barde entama sa chanson d’or, Il narra les mondes et leurs mystĂšres, Suscitant dans tous, sourires et lumiĂšres. « Ô noble auditoire, je vais vous raconter, Une blague qui saura vous enchanter, Elle parle d’un lieu, aride et sans fin, Le Sahara, oĂč seule la soif est un festin. » Le barde commença sa fable Ă©ternelle, Dans le rythme des vers, Ă  la rime belle, Il dĂ©crivait le dĂ©sert, vaste et brĂ»lant, Dans la chaleur du sable, impitoyable adamant. « Un voyageur, las et assoiffĂ©, avance, Cherchant une oasis, au loin, une chance, Il erre depuis des jours, Ă©puisĂ© par le vent, Se plongeant dans l’illusion de mirages s’Ă©levant. » Les hommes se mirent Ă  l’Ă©couter attentifs, Leurs yeux s’Ă©clairĂšrent, curieux et vifs, Imaginant le dĂ©sert dans leur esprit, Écoutant chaque rime, chaque mot prĂ©cis. « Il finit par trouver un puits bien cachĂ©, L’eau si prĂ©cieuse qui le fit frissonner, Mais Ă  sa grande surprise, il y entendit, Un Ă©cho si lointain, une voix s’Ă©lever. » Le barde souriait, les yeux Ă©tincelants, Les rires du public s’Ă©levaient triomphants, Car la blague tant attendue de cette scĂšne, Faisait naĂźtre en chacun une joie sereine. « Dirigeant son regard vers le fond du puits, Le voyageur grava dans sa mĂ©moire sans dĂ©fi, Que jamais, au grand jamais, il ne faut oublier, Que mĂȘme au Sahara, y’a toujours un Mar- »rhh »-tyrer. » Les rires Ă©clatĂšrent, le barde triompha, Sa ballade si bien chantĂ©e, y trouva sa voie, Les Ă©chos des rires raisonnĂšrent au loin, Gagnant les confins de ce Moyen Âge si loin. Et depuis ce jour, dans les tavernes et les cours, Le barde chante sans relĂąche avec amour, Cette blague sur le dĂ©sert brĂ»lant et sans fin, Qui, au Moyen Âge, fit rire tous les humains.