Blague

Avocats

Distinguer un avocat d’un extraterrestre ? Facile ! Les extraterrestres sont arrivés en toute amitié, tandis que les avocats… eh bien, ils ont leur propre approche !

Oh grands sorciers et mages de ce royaume enchanté, je vais vous révéler le sortilège secret pour différencier un avocat d’un extraterrestre ! Écoutez bien, car les conséquences de ce sort sont aussi surprenantes que magiques ! D’un geste gracieux de votre baguette ensorcelée, prononcez donc ces paroles mystiques : « Juris et spatium separare! » Alors alors, dans un éclair de lumière étincelante, une étrange transformation s’opérera devant vos yeux ébahis. Les avocats perdront leur apparence terrestre et se métamorphoseront en êtres d’un tout autre genre ! Leur robe élégante se couvrira de motifs étranges et colorés, tel ceux des plumages d’oiseaux exotiques. Leurs mots, auparavant empreints de sagesse légale, deviendront des chants mélodieux et envoûtants, des notes incantatoires ! Mais ce n’est pas tout, cher enchantement ne s’arrête pas là ! Les extraterrestres, quant à eux, ne seront pas exempts de ces transformations magiques. Leur apparence changera aussi, mais d’une manière bien différente. Leurs étranges yeux perçants et leurs antennes gracieuses se dissiperont lentement, où se matérialiseront à la place… des lunettes rondes et des moustaches imposantes ! Leur peau d’azur se foncera pour arborer la même couleur que les avocats : un noir élégant et mystérieux. Ainsi, grâce à ce sortilège ensorcelant, il devient aisé de distinguer un avocat d’un extraterrestre. Les avocats deviennent de merveilleuses créatures musicales aux accoutrements flamboyants, tandis que les extraterrestres prennent l’apparence de messieurs respectables, arborant fièrement leurs fines moustaches et élégantes lunettes. Mais attention, car les conséquences peuvent être risquées ! Les avocats pourraient se lancer dans des plaidoiries chantées, ensorcelant les juges de leur voix enchanteresse, tandis que les extraterrestres pourraient se faire passer pour de vaillants défenseurs de la justice, semant l’équivoque et la perplexité dans les tribunaux. Alors, chers sorciers, prudents soyez quand vous lancez ce sortilège farceur ! Car les conséquences de cette magie fantasque sont dignes du plus grand enchantement dans cet univers fantastique où avocats et extraterrestres se confondent dans des métamorphoses merveilleuses et imprévisibles. Ah, la magie des blagues dans l’univers de la fantasy !

Blagues de Toto

Un élève optimiste se lance un défi : ‘Au prochain trimestre, je vais doubler ma moyenne actuelle !’ Ayant une moyenne de 0, il est convaincu que son objectif est parfaitement atteignable.

Il était une fois, dans une petite ville tranquille, un jeune garçon nommé Ducobu. Ducobu était connu pour être le cancre de l’école, toujours en train de rigoler et de faire des bêtises. Malgré cela, il était plutôt populaire auprès de ses camarades de classe, car il avait un sens de l’humour inégalable. Un jour, alors qu’il se trouvait devant le tableau noir, en train de rêvasser, il eut une idée incroyable pour échapper à ses mauvaises notes et prouver à tous qu’il pouvait s’en sortir. « Au prochain trimestre », se dit-il, « je double ma moyenne ! J’ai 0, ça devrait être jouable. » Ducobu commença alors à travailler dur. Il passait des heures à étudier et à faire ses devoirs. Il se mit même à la recherche de tous les livres d’aide à la réussite scolaire disponibles, et dévora chaque page avec appétit. Ses parents, surpris de cette soudaine motivation, le soutenaient de toutes leurs forces. Le jour des résultats arriva enfin. Ducobu était stressé, mais confiant. Il se dirigea vers l’école, espérant entendre son nom parmi les meilleurs élèves pour la première fois de sa vie. Mais lorsqu’il ouvrit l’enveloppe avec ses notes, son visage se décomposa. Les chiffres étaient les mêmes qu’auparavant, aucune amélioration n’était visible. Il avait encore une moyenne de 0. Son professeur principal, le professeur Latouche, s’approcha de lui avec un sourire narquois. « Eh bien, Ducobu », dit-il d’un ton moqueur, « on n’a pas réussi à doubler sa moyenne ? » Ducobu, loin de se décourager, afficha un sourire malicieux. « Ah non, monsieur Latouche », répondit-il. « J’ai bien doublé ma moyenne, en effet ! J’ai obtenu un joli 0… mais maintenant, si je le double, j’aurais un magnifique… 0 aussi ! » Tout le monde éclata de rire. Ducobu avait réussi à transformer un échec apparent en une blague hilarante. Et dès lors, il fut reconnu comme le roi de la comédie à l’école. Ainsi, Ducobu continua sa scolarité dans la joie et la bonne humeur, utilisant son humour pour apporter du bonheur à ses camarades. Même s’il n’était pas le meilleur élève, il était le plus apprécié de tous. Cette histoire nous rappelle que parfois, le plus important n’est pas d’atteindre des sommets académiques, mais de cultiver le bonheur et le rire dans nos vies. Et cela, Ducobu l’avait compris mieux que quiconque.

Célébrités

Coluche – Gardien de la paix. Les gardiens de la paix, au lieu de la garder, ils feraient mieux de nous la foutre !

Dans les temps antiques où les énigmes étaient enseignées, Un sage mystérieux partageait sa pensée. Tels des gardiens de la tranquillité, ils se faisaient nommer, Mais bien des fois, la paix ils savaient égarer. Tiraillés par leurs devoirs, semblant les oublier, Ces gardiens de la sérénité semblaient divaguer. Car au lieu de veiller sur notre quiétude avec ferveur, Ils préféraient laisser filer notre bonheur. Dans leurs mains, le pouvoir leur était donné, Mais au lieu de le préserver, ils le laissaient s’échapper. Tel un ruisseau pur, ils le laissaient se perdre, Au gré des courants, sans savoir le retenir. Ô mystère de la justice, ô sagesses oubliées, Les gardiens de la paix semblaient s’égarer. Plutôt que de la garder comme il était prescrit, Ils semblaient préférer la laisser dériver comme un navire. Ainsi, dans les méandres de cette énigme étrange, Le véritable sens de leur mission se mélange. Car gardiens de la paix, ils auraient dû conserver, Au lieu de la laisser s’évanouir, nous laissant frustrés.