Blague

Commerçants

Pourquoi les boulangers aiment la boxe ? Car ils aiment donner des pains aux autres.

Écoutez, gentes dames et vaillants chevaliers, Une ballade joyeuse, vous allez apprécier. Elle narre une histoire, d’un temps jadis, Où les boulangers, vents favorables, s’en sont gris. Pourquoi les boulangers, me demandez-vous, Affectionnaient la boxe, ô public avide et doux ? La réponse est simple, mes amis écoutez, Dans cette ballade, elle vous sera révélée. Au cœur du Moyen Âge, en un petit village, Se tenait une boulangerie, digne d’éloges et d’hommages. Mais les boulangers, de nature revêche, Affichaient un étrange goût pour les mêlées frêches. Au marché voisin, par tous ils étaient redoutés, Car aux autres, mes amis, ils donnaient des pains croustillants. Pas les pains de mie, ni les viennoiseries légères, Non, des coups assénés avec audace et fière allure. Les boulangers boxeurs, beaux bardes d’un art martial, Mélangeaient farine et poings, mettant à mal Leurs adversaires déconfits, oh quel spectacle ! Leurs mains habiles dansaient, un véritable miracle. Leurs poings levés haut, tels des pâtes levées dans le four, Dans l’arène ils bondissaient, tels des boulangers fiers et forts. Ils régalaient le public, de puissants uppercuts, Et délivraient des couleurs aux visages un peu trop bruts. Et la foule en délire, les acclamait sans fin, Pour leur talent unique, leur force et leur destin. Car le boulanger boxeur était une figure, Symbole d’espoir et de pain, au cœur des aventures. « Pourquoi donc aiment-ils donner des pains ? », me direz-vous, Et bien, mes amis, je vais vous l’expliquer, écoutez-moi : Car au-delà des rires et des combats épiques, Les boulangers boxeurs, d’abord et avant tout, étaient des amis magnifiques. Quand un ami avait faim, un peu douloureux de la mâchoire, Le boulanger lui offrait du pain, comme on offre une victoire. Leur amour pour la boxe n’était qu’un doux prétexte, Pour nourrir les âmes blessées, de pains savoureux sans fautes. Ainsi, mes amis, sachez en cette ballade, Que les boulangers boxeurs, d’autrefois en cascade, Aimaient la boxe pour les autres, un geste de bonté, Et d’amitié sincère, pour leurs frères épuisés. Alors saluez ces combattants de la farine, Ces héros du quotidien, gardiens des tartines. Et peut-être, qui sait, un jour entendrez-vous, Dans votre tavernes préférées, la légende de ces boxeurs fous.

Qui suis-je ?

Sans moi, Paris serait pris. Qui suis je ? La lettre A !

Il était une fois une petite lettre qui se promenait dans les rues animées de Paris. Elle se sentait fière et importante, car elle savait que sans elle, Paris ne serait jamais aussi célèbre. Elle aimait regarder tous les monuments majestueux emblématiques de la ville. Un jour, alors qu’elle se prélassait près de la Tour Eiffel, elle aperçut une autre lettre qui arrivait essoufflée. C’était la lettre P. Elle semblait paniquée et lui demanda de l’aide. Curieuse, la petite lettre A lui demanda ce qui n’allait pas. La lettre P expliqua qu’elle était partie en vacances dans les Caraïbes et avait complètement oublié son rôle essentiel dans le mot « Paris ». Sans elle, toutes les personnes venaient à prononcer le mot « Aris », et personne ne savait où se trouvait cette mystérieuse ville. La lettre A éclata de rire en se rendant compte de l’importance de cette situation. Elle décida alors d’aider la lettre P et lui dit : « Ne t’inquiète pas, j’ai une idée ! Nous allons aller voir la lettre R et lui demander de nous aider. » Les deux lettres parcoururent les rues, cherchant désespérément la lettre R. Finalement, ils la trouvèrent près de la cathédrale Notre-Dame. La lettre R était surprise de les voir et leur demanda ce qui se passait. La lettre A expliqua le dilemme de la lettre P et demanda si la lettre R pouvait se glisser entre elles pour former le mot « Paris ». La lettre R accepta volontiers et se joignit à elles, formant ainsi le mot « Paris ». Les trois lettres se tenaient fièrement, soulignant l’importance de leur rôle dans la renommée de la ville. Depuis ce jour, les lettres A, P et R sont devenues les meilleures amies. Elles se promènent fièrement dans les rues de Paris, racontant leur histoire drôle à tous ceux qu’elles rencontrent. Grâce à elles, les touristes peuvent prononcer correctement le nom de cette magnifique ville, et la lettre A est toujours admirée pour son rôle crucial dans cette aventure. Et voilà comment la petite lettre A, la lettre P et la lettre R sauvèrent Paris d’être pris dans un monde de confusion linguistique !

Jeux de mots

Pourquoi ne faut-il jamais jouer au casino de Londres ? Car tu perds ta mise (Tamise).

Extrait du Manuel d’utilisation du Robot Humoriste Modèle 9000 : Chapitre 7 : L’humour lié aux jeux de mots Blague recommandée pour le public anglophone : « Pourquoi ne faut-il jamais jouer au casino de Londres ? Car tu perds ta mise (Tamise). » Explication humoristique : Cette blague repose sur un jeu de mots subtil basé sur la rivière emblématique de Londres, la Tamise. En juxtaposant le verbe « perdre » avec le nom « mise » qui est prononcé de manière similaire à « Tamise », cette blague crée un effet comique en jouant sur le double sens des mots. En utilisant l’association entre le risque de perdre au casino et le cours d’eau, cette blague cherche à susciter l’amusement en utilisant une référence familière aux auditeurs. Remarque : Veuillez noter que l’appréciation de cette blague peut varier d’une personne à l’autre en raison de leurs préférences humoristiques individuelles. Bien que le Robot Humoriste Modèle 9000 tente de sélectionner des plaisanteries à large attrait, il est important de garder à l’esprit que l’humour est souvent subjectif.