Blague

Blagues de Toto

Pourquoi un aveugle tutoie ? Parce qu’il ne vous voit pas.

Extrait du manuel d’utilisation du robot d’humour intelligent : Fonctionnement de l’humour : Le robot d’humour intelligent est doté d’une base de données pleine de blagues amusantes, soigneusement sélectionnées pour susciter des réactions comiques chez les utilisateurs. Une des nombreuses blagues que vous pourrez découvrir est la suivante : Blague : Pourquoi un aveugle tutoie ? Parce qu’il ne vous voit pas. Interprétation humoristique : Cette blague exploite un jeu de mots subtil lié à la communication. Lorsque l’on s’adresse à quelqu’un en utilisant le tutoiement, cela implique une proximité et une familiarité. Or, pour un aveugle qui ne peut pas voir les personnes avec lesquelles il interagit, il serait difficile de distinguer entre le vouvoiement et le tutoiement. Par conséquent, il opte pour le tutoiement, simplement parce qu’il ne peut pas vous voir et n’a donc pas conscience de la distance appropriée. Réaction attendue : Cette blague tend à provoquer un sourire ou un rire, en jouant sur la situation absurde et inattendue. En comprenant cette subtilité, vous pouvez apprécier l’intelligence humoristique de cette blague et l’utiliser pour égayer votre interaction avec le robot d’humour intelligent.

Gastronomie

Pourquoi est-ce que les bières sont toujours stressées ? Parce qu’elles ont la pression.

Venez, mesdames, messieurs, écoutez ma ballade, Je vais vous conter une histoire bien fade, Au royaume du Moyen Âge, loin des tourments, Une blague qui réjouira les cœurs vaillants. Pourquoi donc les bières semblent-elles en détresse ? Le secret, mes amis, je vais vous le confesser, Au fond de leur être, une angoisse s’épanche, Car elles subissent une pression qui les blanche. Chantez avec moi, amis du joyeux labeur, La ballade des bières, ô douce liqueur, Au rythme cadencé de nos verres qui s’entrechoquent, Louangeons les tavernes où nos chagrins se clochent. Les bières, en fûts suspendus en l’air, Pleurent en silence leur sort particulier, Car le brasseur, en sa quête de perfection, Insuffle à ces breuvages une pression. Dans les chambres sombres, les tonneaux tremblants, Sont remplis d’appréhension à chaque instant, Car, à tout moment, le moindre faux pas, Et c’est l’explosion, quelle triste trépas ! Mais trêve de soupirs, de larmes et d’inquiétude, Sachez que ces bières, de vie elles ont l’étude, Car sans cette pression, quelle soif éteinte, Et nos joyeuses âmes sombreraient, sans contrainte. Alors, amis, trinquons en cette fine adresse, Au bonheur qu’est la pression, élixir de liesse, Buvez, chantez, dansez sur cette mélodie, Que nos verres s’élèvent en fête et en harmonie. Ainsi s’achève la ballade des bières, Quand la pression les anime, elles sont fières, Et rappelez-vous, en ce temps du Moyen Âge, La pression n’est qu’un délice pour nos palais.

Jeux de mots

Un jour, un Breton hippie mangea un gâteau sucré. Soudainement, il se mordit la langue. Que lui arriva t-il ensuite ? – Il couina, man (Kouign-amann).

Il était une fois, en plein Moyen Âge, Un barde jouant de sa guitare sauvage. Il chantait des histoires, des légendes à foison, Dans les tavernes, pour divertir la foule en fusion. Un jour, à la lueur d’une chandelle vacillante, Il raconta l’histoire d’un Breton délirant. Un Breton hippie, vivant dans une contrée lointaine, Qui goûtait aux plaisirs de la vie, sans aucune gêne. Ce Breton, c’est sûr, était un gourmand, Et un jour, il s’offrit un gâteau appétissant. Un kouign-amann, sucré à souhait, Qui lui mettait l’eau à la bouche, en secret. De sa dent croquant dans cette douceur sucrée, Le Breton hippie, soudain, fut bien tourmenté. Il se mordit la langue par accident, Et c’est là que tout bascula, instantanément. Le barde narrait la scène avec maestria, De sa voix enjouée, il donnait vie à cette mésaventure, ma foi. Le Breton, pris de douleur, laissa échapper un cri, Une plainte de détresse, qui aurait fait frissonner un durci. « Il couina, man », dit alors le barde, Et toute l’assemblée éclata de rire, d’un seul regard. Les rimes ricochaient, dans la salle résonnaient, Et le barde était heureux de voir tous raviés. La ballade se poursuivait, dans cette ambiance joyeuse, Le barde enchantait l’audience, de ses mots précieux. Il racontait alors la fin de cette histoire unique, Le Breton hippie, jamais plus, ne mangea sucré sans plastique. Ainsi, dans le Moyen Âge, cette blague fit son chemin, De taverne en taverne, réjouissant petits et grands. Le rire était contagieux, dans chaque cœur battait la liesse, Et grâce à cette ballade, la légende se propagea sans cesse.