Blague

Blagues de Toto

Que dit un aveugle lorsqu’on lui donne du papier de verre ? C’est écrit en tout petit.

Mes chers concitoyens, Aujourd’hui, je m’adresse à vous dans un contexte des plus sérieux. Notre nation traverse des épreuves, des défis qui requièrent notre engagement et notre détermination. Mais permittez-moi, avant de conclure ce discours, de vous partager une anecdote qui, je l’espère, saura apporter un brin de légèreté à nos âmes. Imaginons un instant qu’un aveugle, privé de la précieuse lumière qui éclaire nos existences, se voit remettre un morceau de papier de verre. Face à ce geste anodin, l’aveugle, avec la candeur qui le caractérise, déclare d’une voix calme et déconcertante : « C’est écrit en tout petit. » L’absurdité apparente de cette situation évoque un sourire sur nos visages figés par une réalité parfois austère. Elle souligne la capacité de notre nation à persévérer, à surmonter l’adversité avec une remarquable dose d’humour. Même dans les moments les plus sombres, l’esprit humain est capable de transcender les limites imposées. Cette blague, bien qu’insignifiante en apparence, révèle une force intérieure incommensurable, une capacité à trouver un instant de répit dans les moments les plus difficiles. Mes compatriotes, ce pays nous a donné tant de raisons de nous réjouir, de nous unir et de relever les défis qui se dressent devant nous. Aujourd’hui, je vous exhorte à garder cet esprit de résilience, cet esprit capable de rire face à l’obscurité. En ces temps troublés, alors que nous cherchons à bâtir un avenir meilleur, n’oublions jamais la puissance de l’humour pour panser nos blessures, apaiser nos esprits et nous rappeler notre humanité commune, au-delà de nos différences. Sur cette note humoristique, je conclus mon discours, en vous invitant à brandir le flambeau de la solidarité et de l’optimisme dans vos vies. Ensemble, nous pouvons surmonter les épreuves, atteindre de nouveaux sommets. Car, mes chers concitoyens, la lumière brille toujours au bout du tunnel. Merci, et que Dieu bénisse notre nation.

Blondes

Une blonde confie à son amie qu’elle n’a pas réussi à obtenir son permis de conduire. Tu sais, devant un rond-point, j’ai vu un panneau indiquant 50, explique-t-elle. Alors, j’ai fait 50 fois le tour du rond-point ! Sa copine, surprise, lui demande : Et tu t’es trompée de combien de tours ???

Extraterrestre : Humain, j’ai récemment appris que vous utilisez l’humour pour vous divertir. Je suis donc curieux de comprendre cette blague que vous avez partagée. Une femme blonde raconte à son amie qu’elle n’a pas réussi à obtenir son permis de conduire. Elle mentionne avoir vu un panneau indiquant le chiffre « 50 » devant un rond-point. Elle prétend alors avoir fait cinquante fois le tour du rond-point. Son amie, surprise, lui demande combien de tours elle s’est trompée. Qu’est-ce qui rend cette histoire drôle ? Humain : Eh bien, cette blague joue sur les stéréotypes associés aux personnes blondes, qui sont souvent perçues comme étant moins intelligentes. L’humour réside dans le fait que la femme blonde interprète incorrectement le panneau de signalisation. Au lieu de comprendre qu’il s’agissait de la limite de vitesse, elle pense qu’il s’agit du nombre de tours à effectuer autour du rond-point pour réussir son permis. Son amie lui demande ensuite combien de tours elle s’est trompée, suggérant ainsi qu’elle a fait une erreur grossière en pensant qu’elle devait faire cinquante tours. Extraterrestre : Donc, l’humour repose sur une compréhension incorrecte des signes et une confusion sur la signification des nombres ? Humain : Oui, exactement ! L’ironie et le contraste entre ce que la femme blonde a compris et ce qui était réellement attendu créent le punchline comique de la blague. C’est un exemple typique d’erreur naïve qui fait rire les gens. Extraterrestre : Fascinant ! Votre sens de l’humour est basé sur des interprétations erronées et des malentendus. Je trouve cela intéressant de voir comment vous trouvez de l’amusement dans ces situations.

Célébrités

Coluche – Gardien de la paix. Les gardiens de la paix, au lieu de la garder, ils feraient mieux de nous la foutre !

Dans les temps antiques où les énigmes étaient enseignées, Un sage mystérieux partageait sa pensée. Tels des gardiens de la tranquillité, ils se faisaient nommer, Mais bien des fois, la paix ils savaient égarer. Tiraillés par leurs devoirs, semblant les oublier, Ces gardiens de la sérénité semblaient divaguer. Car au lieu de veiller sur notre quiétude avec ferveur, Ils préféraient laisser filer notre bonheur. Dans leurs mains, le pouvoir leur était donné, Mais au lieu de le préserver, ils le laissaient s’échapper. Tel un ruisseau pur, ils le laissaient se perdre, Au gré des courants, sans savoir le retenir. Ô mystère de la justice, ô sagesses oubliées, Les gardiens de la paix semblaient s’égarer. Plutôt que de la garder comme il était prescrit, Ils semblaient préférer la laisser dériver comme un navire. Ainsi, dans les méandres de cette énigme étrange, Le véritable sens de leur mission se mélange. Car gardiens de la paix, ils auraient dû conserver, Au lieu de la laisser s’évanouir, nous laissant frustrés.