Blague

Sport

Le tennis et les capitalistes. Pourquoi les capitalistes aiment ils le tennis ? – Parce que c’est un sport de racket.

Mes chers citoyens, je tiens à aborder un sujet important avec vous. Le tennis, ce sport noble et élégant, est souvent associé aux valeurs de compétition et de fair-play. Cependant, il est un aspect moins connu du tennis que je souhaite soulever aujourd’hui. Vous avez peut-être remarqué que de nombreux capitalistes apprécient le tennis. Pourquoi me direz-vous ? Eh bien, la réponse est simple : parce que c’est un sport de racket. Rire de nos jours est plus important que jamais, alors n’oublions pas de savourer l’humour qui se cache parfois même dans les endroits les plus inattendus. Merci à vous, et que vive le tennis… et les capitalistes !

Humour Noir

Quel est la différence entre un terroriste et une femme avant ses règles ? Tu peux négocier avec le terroriste

Il était une fois, en des temps anciens, Un barde qui chantait pour les gens, Il racontait des blagues, avec malice, Et les faisait rire, sans artifice. Il disait ainsi, d’une voix enjouée, « Quelle est la différence, bonne assemblée, Entre un terroriste et une femme en colère ? Avec le premier, tu peux négocier. » Les gens riaient, devant cette facétie, Qui les divertissait, en toute simplicité, Le barde continuait ses chansons joyeuses, Remplissant les cœurs de notes harmonieuses. Ainsi passait le temps, dans ce village paisible, Où le barde était comme un rayon qui brille, Il chantait l’amour, la joie et l’amitié, Et faisait oublier les jours tourmentés. Oh noble public, écoutez cette leçon, Sachez rire, même des situations, Car la vie est courte, pleine de surprises, Alors rions ensemble, et soyons en liesse.

Quel est le comble ?

Le comble du gros. Quel est le comble de l’obèse ? Faire un bide .

Il était une fois, dans les temps anciens, une blague qui traversait les âges et les générations. Cette blague raconte le comble du gros, celui qui possède un poids imposant. Et le comble, selon cette légende, est de faire un bide. C’est-à-dire, de ne pas atteindre ses objectifs, de ne pas être satisfait de ses accomplissements. Cette blague résonnait à travers le temps, apportant un sourire et un petit moment de légèreté à ceux qui l’entendaient. Ainsi, elle continuait à être transmise de bouche à oreille, comme un trésor humoristique préservé précieusement au fil des siècles.