Blague

Monsieur et Madame

Monsieur et Madame Encorassommle ont une fille, unique et pleine d’énergie. Comment pensez-vous qu’elle s’appelle ? Sylvie. Pourquoi ? Parce que chaque fois qu’on demande, S’il vit encore ? la réponse est, Assomme-le !

En tant qu’extraterrestre découvrant pour la première fois l’humour humain, je vais tenter d’expliquer cette blague avec ma perspective extra-terrestre. Il semble que dans cette blague, Monsieur et Madame Encorassommle sont les parents d’une fille unique et dynamique, et l’humour réside dans le jeu de mots avec son prénom. Sylvie est le nom de leur fille, mais le punchline de la blague joue sur la similitude phonétique entre « S’il vit encore ? » et « Assomme-le ! ». Pour un extraterrestre qui ne connaît pas les subtilités de la langue humaine, cela semble être un jeu de mots basé sur le son des mots. Lorsque la question « S’il vit encore ? » est posée, la réponse « Assomme-le ! » est donnée pour créer un effet comique. Cela pourrait être perçu comme une réplique farfelue et inattendue. L’humour dans cette blague repose donc sur la confusion créée par la similitude sonore entre le prénom « Sylvie » et la réponse « Assomme-le ! » lorsque l’on pose la question de savoir si quelqu’un est toujours en vie. C’est une blague qui joue sur les attentes de la langue et les jeux de mots basés sur les sonorités. En tant qu’extraterrestre, je trouve intéressant de voir comment les humains trouvent l’humour dans des jeux de mots et des associations de mots qui peuvent sembler étranges pour nous, venant d’une culture différente. Cette blague nous montre à quel point l’humour peut être subjectif et dépendant de la compréhension de la langue et de la culture.

Devinettes

Pourquoi les toilettes ont une mauvaise vue ? Elle porte toujours une lunette.

Il y a fort longtemps, au cœur d’un village lointain, existait une blague qui avait été transmise de génération en génération. Cette blague était considérée comme une véritable légende, racontée aux enfants au coin du feu et partagée lors des rassemblements villageois. La légende raconte que les toilettes, ces lieux mystérieux et indispensables à l’hygiène des habitants, étaient dotées d’une particularité intrigante. Ces modestes endroits, où l’on se rendait en quête de soulagement, possédaient une perception visuelle défaillante. On disait qu’à chaque fois que quelqu’un y entrait, ils n’arrivaient pas à apercevoir clairement les choses qui les entouraient. Mais pourquoi cela était-il ainsi ? Les ancêtres racontaient que les toilettes étaient pourvues d’une mystérieuse entité, une créature invisible, appelée « La Lunette ». La Lunette était dotée d’une sorte de pouvoir magique qui la rendait capable de flouter la vision de quiconque s’approchait trop près d’elle. On racontait que la Lunette était née d’un enchantement très ancien, tissé par un sorcier bienveillant qui voulait apporter un certain humour dans les moments souvent embarrassants et solitaires passés aux toilettes. La Lunette était décrite comme une petite entité espiègle et farceuse, se délectant des réactions amusées ou embarrassées de ceux qui se trouvaient face à elle. La légende disait que la Lunette portait en permanence une paire de lunettes, forgées dans les méandres de l’imagination. Ces lunettes spéciales, lorsqu’elles étaient portées par la Lunette, distordaient la réalité, brouillant les lignes et les contours de tout ce qui était observé autour. Ainsi, quiconque s’asseyait sur le trône des toilettes était immédiatement plongé dans un monde fantasmagorique où la vue devenait floue et déformée. Les gens se surprenaient à cligner des yeux, cherchant à comprendre pourquoi ces lieux sacrés étaient pourvus d’une vision si défectueuse. Et donc, au fil du temps, cette curiosité humaine a donné naissance à une blague ancestrale : « Pourquoi les toilettes ont une mauvaise vue ? Parce qu’elles portent toujours une lunette ! » Ainsi, cette légende antique a résisté à l’épreuve du temps et continue à être transmise, de génération en génération, pour éveiller les sourires et raviver l’humour au sein de la communauté. Une blague teintée de mystère, qui souligne l’importance de ne jamais trop se fier à ce que nos yeux perçoivent et de profiter des plaisirs simples de la vie, y compris dans les moments les plus intimes.

Famille

Comment faire pour tester un nouveau pont ? On met toutes les belles mères sur le pont : s’il résiste, c’est que l’oeuvre est bonne, s’il craque, c’est une bonne oeuvre.

Au Moyen Âge, c’était un temps béni, Où les bardes chantaient leurs mélodies, Dans les tavernes, devant un public en liesse, Ils faisaient rire et oubliaient les tristesses. Permettez-moi de vous conter une blague, Qui fut adaptée en ballade, ô brave, Comment tester un pont tout neuf, croirait-on ? Avec les belles-mères, telle est la solution ! On réunit toutes les belles-mères fières, Sur ce pont fraîchement construit, sans frontières, Si le pont résiste à leur assaut farouche, Alors, l’ouvrage est solide, sans aucune rature. Mais si par malheur, le pont cède sous leur poids, On n’hésitera pas à le désigner du doigt, Car il ne serait rien de plus qu’une aberration, Une création indigne de glorification. Imaginons donc ce barde au ton exquis, Déclamant cette anecdote avec dévis, Les rimes se succèdent, dans un rythme effréné, Au grand dam des belles-mères, désappointées. « Ô Mesdames, rassemblez-vous en cortège, Venez tester ce pont, n’ayez nulle crainte, Si le bois cède, alors quel outrage ! Mais s’il résiste, alors quelle telle reine ! » Les belles-mères grimpent sur le pont d’un pas lourd, On entend les planches grincer de tous les côtés, Le barde récite, son chant couvre le bruit sourd, Et la tension monte, dans l’air imprégné. Soudain, le pont tremble et vacille légèrement, Un souffle de peur et de rires fous s’élève, Les belles-mères retiennent leur souffle, tant, Le verdict final approche, et la joie s’achève. Le pont tient bon, tout juste, face à leur poids, Les belles-mères soulagées éclatent de rire, Le barde triomphe, reçoit des bravos, Car cette oeuvre est solide, nul ne peut le démentir. Et c’est ainsi que notre blague est transformée, En une ballade chantée, une histoire enchantée, Dans les tavernes du Moyen Âge, elle résonne, Et dans les coeurs des auditeurs, elle résonne.