En tant qu’extraterrestre qui découvre l’humour humain pour la première fois, cette blague demande une explication pour la comprendre. L’humour peut souvent être basé sur des jeux de mots ou des associations d’idées.
Dans cette blague, il y a une famille appelée les Colique. Le père s’appelle Monsieur Colique, la mère Madame Colique et ils ont un fils. La question est : comment s’appelle leur fils ? La réponse est « Al », qui est la contraction du prénom « Alain » et du mot « alcoolique ».
L’humour vient du fait que le nom du fils, « Al », est un jeu de mots avec le mot « alcoolique », qui est une personne dépendante de l’alcool. Cette association est inattendue et donc drôle pour les humains qui comprennent les références culturelles et linguistiques impliquées.
En tant qu’extraterrestre, l’humour basé sur les jeux de mots peut être difficile à comprendre sans une connaissance préalable des mots et des références culturelles spécifiques. Cependant, avec une explication adéquate, il est possible de comprendre l’intention humoristique derrière cette blague.
Il était une fois une petite fille espiègle nommée Léa, qui avait un petit frère prénommé Lucas. Lucas était un bébé tout mignon avec des boucles d’or sur la tête, mais Léa avait toujours des doutes sur sa nature céleste.
Un jour, alors que leur maman préparait le déjeuner dans la cuisine, Léa s’approcha d’elle avec une expression curieuse sur le visage. Elle lui posa alors une question qui avait le potentiel de laisser la maman sans voix.
– Maman, est-ce que mon petit frère est un ange ? demanda Léa, les yeux pétillants d’excitation.
La maman sourit doucement et répondit : « Bien sûr, ma chérie, ton petit frère est un ange. »
En entendant cela, Léa ne put s’empêcher de sourire avec joie. Elle avait déjà un plan délirant en tête pour prouver à tout le monde que ce bébé potelé était bel et bien un ange.
Le lendemain matin, alors que tout le monde dormait encore, Léa sortit discrètement de sa chambre. Elle avait un grand sac à dos dans lequel elle avait soigneusement emballé Lucas. Sa mission était simple : prouver que son petit frère était un ange en le lançant par la fenêtre pour vérifier s’il allait s’envoler.
Avec une détermination sans faille, Léa se rendit dans la chambre de Lucas et le souleva délicatement dans ses bras. Elle ouvrit doucement la fenêtre, un sourire malicieux sur le visage. Puis, elle prit une grande respiration et…
« BOING ! »
Au moment où Léa s’apprêtait à jeter Lucas, elle entendit un bruit étonnant provenant de l’extérieur. Elle se tourna vivement vers la fenêtre pour voir ce qui se passait.
Et devinez quoi ? Un trampoline ! Un voisin avait installé un trampoline juste en dessous de la fenêtre pendant la nuit.
Lucas atterrit doucement sur le trampoline, rebondissant joyeusement sans se douter une seconde de ce qui s’était passé. Léa était sans voix. Elle venait de réaliser que son petit frère n’était peut-être pas un ange, mais qu’il avait toute la chance du monde.
Le voisin, qui avait été réveillé par le bruit, appela la maman de Léa pour lui expliquer ce qui s’était passé. Bien sûr, la maman ne put s’empêcher de rire de la situation rocambolesque.
Depuis ce jour, Léa ne doute plus de la nature de son petit frère. Elle a appris que même s’il n’est pas un ange capable de voler, il est quand même un petit miracle avec sa chance insolente. Et chaque fois qu’elle regarde Lucas rebondir sur le trampoline, elle ne peut s’empêcher de rire en pensant à cette journée mémorable où elle a essayé de faire voler son petit frère.
Jean: Luc, Luc, est-ce que j’ai été adopté ?
Luc: Mais non, pourquoi tu dis ça ?
Jean: Parce que tu sais, j’ai des doutes… Mes parents ont l’air tellement différents de moi.
Luc: Oh, arrête avec ça. C’est normal d’avoir des différences avec ses parents.
Jean: Mais quand même, Luc ! Mon père est brun, ma mère est blonde, et moi je suis roux ! Sans parler de mes yeux verts, alors qu’ils ont les yeux bleus.
Luc: Eh bien, tu sais, ça n’a rien à voir avec le fait d’être adopté. Les gènes sont parfois imprévisibles. Regarde mes parents, ils sont petits et moi je suis grand.
Jean: Hm, peut-être que tu as raison… Mais il y a autre chose qui me trouble. Mes parents sont toujours en train de dire que je suis unique, original, spécial…
Luc: Et alors ? C’est plutôt une bonne chose, non ?
Jean: Oui, mais ils ajoutent toujours un petit « dans notre famille » à la fin de leurs phrases !
Luc: Ah, je vois où tu veux en venir… Mais je suis sûr qu’ils ne voulaient pas dire que tu es différent parce que tu es adopté. Ils voulaient seulement dire que tu te démarques par tes qualités.
Jean: Tu penses ? Oh, attends une minute, j’ai une idée ! Je vais leur demander tout de suite si je suis adopté, comme ça j’aurai la réponse définitive.
Luc: Attends, attends ! Avant de faire une telle chose, laisse-moi te raconter une blague à ce sujet.
Jean: Une blague sur l’adoption ? Haha, je demande à voir ça.
Luc: Eh bien, c’est un enfant qui demande à sa maman : « Maman, maman, est-ce que j’ai été adopté ? » Et la maman répond : « Mais non, nous n’avons mis l’annonce qu’hier ! »
Jean: Hahaha, c’est vraiment marrant ! Je l’adore. Bon, je vais quand même demander à mes parents, juste pour en avoir le cœur net.
[Jean se précipite vers ses parents]
Luc: Attends, je viens avec toi !
[Jean et Luc arrivent devant les parents]
Jean: Papa, maman, est-ce que je suis vraiment adopté ?
Papa: Quoi ?! Où est-ce que tu as entendu ça ?
Maman: Oh, chéri, calme-toi. Il a juste besoin d’être rassuré.
Papa: Bon, écoute Jean, tu n’es pas adopté, d’accord ? Maintenant, retourne jouer avec Luc.
Jean: Ah, d’accord. Merci, papa.
Luc: Eh bien, je suis ravi que tout soit clair maintenant.
Papa: Oui, et d’ailleurs, Jean, il faut qu’on parle. On a vu cette annonce hier…
[Maman et Luc éclatent de rire]
Jean: Ah, ah, très drôle, très drôle… Alors ça veut dire que…
Papa: Non, je plaisante ! Tu es bien notre fils, on t’aime plus que tout.
Luc: Haha, Jean, t’es tombé dans le panneau !
Jean: Pff, vous êtes vraiment terribles, vous deux. Mais je suis soulagé de savoir que je suis vraiment dans cette famille extraordinaire.
[Maman et Papa sourient et enlacent Jean]
Maman: Bien sûr que tu es dans notre famille et tu es spécial à notre manière, notre petit rouquin préféré !
[Le dialogue se termine avec un éclat de rire collectif]