Humour

Devinettes

A et A’ sont sur un bateau sur un bateau. A tombe à l’eau, que fait A’ ? Il dérive.

A: Oh la la, j’ai entendu une histoire tellement drôle aujourd’hui ! Tu veux que je te la raconte ? A’: Bien sûr, je suis tout ouïe ! Raconte-moi cette histoire. A: Alors voilà, il y avait deux personnes, A et A’, qui étaient sur un bateau. Comme le dit la blague, A tombe à l’eau. Mais devine ce que fait A’ ? A’: Hmm, je ne sais pas… Il saute à l’eau pour aider A ? A: Non, pas du tout ! Il dérive ! Tu te souviens, la blague dit bien : « A tombe à l’eau, que fait A’ ? Il dérive ». A’: Ahahah ! Très drôle en effet ! C’est plein d’ironie. J’imagine la situation complètement absurde. A: Exactement ! Et tu sais ce qui rend cette histoire encore plus hilarante ? A et A’ sont en réalité de véritables amis qui adorent jouer des tours comme ça. A’: Vraiment ? Ces deux-là sont vraiment plein d’esprit ! J’imagine qu’ils doivent rendre leur entourage fou avec leurs blagues. A: Oh, tu peux le dire ! Je ne peux qu’imaginer la tête de leurs amis quand ils racontent cette histoire lors des soirées entre eux. A’: Haha, ils doivent bien rigoler ! J’espère qu’un jour, je pourrai rencontrer A et A’ pour partager encore plus de fous rires avec eux. A: Ne t’inquiète pas, je suis sûr qu’une occasion se présentera. En attendant, continuons de partager ces histoires amusantes entre nous ! A’: Absolument, c’est toujours un plaisir de passer du temps avec toi et de partager de bons moments.

Jeux de mots

Je vais appeler mon enfant Plainte. Au moins, je pourrais porter Plainte.

Il y a fort longtemps, dans un monde oublié, où les noms avaient une signification bien plus profonde, une blague a émergé, qui a survécu à travers les âges. Cette légende raconte l’histoire d’un homme, un sage villageois qui rêvait d’un nom original pour son futur enfant. Il pensait que le nom devait refléter ses propres souhaits et aspirations. Après de longues réflexions, il prit une décision audacieuse – il nommerait son enfant Plainte. Alors que le vent soufflait doucement sur les collines environnantes, l’homme proclama fièrement à quiconque voulait l’entendre : « Je vais appeler mon enfant Plainte. Au moins, je pourrais porter Plainte. » Une exclamation qui s’est répandue comme une traînée de poudre dans le village. Les villageois, autour d’un feu chaleureux, se regroupaient pour écouter les histoires les plus captivantes, et la blague de l’homme sage est devenue l’une de leurs favorites. Ils l’ont transmise de génération en génération, se régalant de son humour subtil et s’en délectant comme d’un trésor précieux. Pourquoi donc cette plaisanterie fut-elle si spéciale ? Parce qu’elle révélait avec finesse une vérité universelle de la vie – que parfois, dans les moments difficiles ou les tribulations de notre existence, nous sommes tentés de nous plaindre et de porter plainte contre le destin. Mais cette blague nous rappelait qu’il existe une beauté ironique dans l’autodérision, que parfois, il est préférable de rire de nos adversités plutôt que de se laisser submerger par elles. Ainsi, cette blague est devenue légendaire, connue de tous les habitants du village et des régions alentour. Elle a aidé les gens à traverser les épreuves de la vie et à embrasser l’humour en tant que remède pour guérir les blessures de l’âme. Et même si les jours passent, et que l’ancien village a été englouti par les sables du temps, la blague continue de vivre dans les contes et légendes racontés au coin du feu. Elle est synonyme d’espoir, de résilience et de la capacité de trouver de la joie même dans les moments les plus sombres. Ainsi, cette blague est devenue une relique précieuse, une partenaire de vie, transmise de génération en génération, rappelant à tous ceux qui l’entendent que parfois, le meilleur remède pour guérir nos maux est sans doute de porter « Plainte ».

Célébrités

Coluche – Crédit. Un crédit : long terme, ça veut dire que moins tu peux payer, plus tu payes.

En tant que voyageur temporel du futur, j’observe attentivement les vestiges culturels du XXIe siècle pour mieux comprendre la mentalité et l’humour de cette époque révolue. Parmi ces témoignages du passé, se trouve une fameuse blague racontée par l’humoriste français Coluche sur le thème du crédit. Dans le contexte du début du XXIe siècle, il est important de noter que le concept du crédit jouait un rôle prédominant dans la société de cette époque. Les individus accordaient une grande importance à leur solvabilité financière et à leur capacité à obtenir des prêts pour acquérir des biens ou des services. C’est dans ce contexte que la blague de Coluche révèle des aspects comiques et critiques du système de crédit de l’époque. La blague se résume ainsi : « Un crédit : long terme, ça veut dire que moins tu peux payer, plus tu payes. » Cette déclaration apparemment paradoxale reflète habilement une réalité économique de l’époque où les emprunteurs étaient souvent victimes de taux d’intérêt élevés et de conditions de remboursement désavantageuses. Coluche met donc en évidence l’absurdité d’un système où ceux qui avaient le moins de moyens se retrouvaient à payer davantage sur le long terme. Cette blague révèle également une observation subtile sur les mentalités de cette époque. Elle souligne la tendance des individus à se tourner vers le crédit pour satisfaire leurs besoins immédiats, sans toujours réfléchir aux conséquences à long terme. Coluche critique ainsi l’idée d’une société de consommation dépendante du crédit, où le désir de possession prime sur la rationalité financière. En analysant cette blague comme un vestige culturel important du XXIe siècle, je réalise qu’elle témoigne des préoccupations et des défis économiques de cette époque. Elle met en lumière les contradictions et les inégalités inhérentes au système de crédit, tout en soulignant la capacité des humoristes à les exposer avec astuce. Cette blague reflète le sens de l’observation de Coluche et sa capacité à questionner les normes et les conventions de son époque d’une manière humoristique, mais profonde.