Humour

Jeux de mots

J’ai fait un test de QI en ligne. Apparemment, j’en ai 404.

Il y a fort longtemps, dans un temps où l’Internet n’existait pas encore et où les ordinateurs n’étaient que des chimères, une blague circulait parmi les sages errants et les conteurs des villages reculés. C’était une blague qui avait été transmise de génération en génération, gravée dans la mémoire des ancêtres et récitée avec une vénération d’une époque disparue. Cette légende urbaine racontait l’histoire d’un individu qui prétendait avoir passé un test de QI en ligne. Les tests de QI étaient des épreuves qui permettaient de mesurer l’intelligence et les facultés mentales des êtres humains, offrant ainsi un aperçu de leurs capacités extraordinaires. Comme dans tous les contes, l’individu se prétendait exceptionnellement brillant, revendiquant un quotient intellectuel d’une valeur bien précise. Mais, selon cette ancienne légende, le nombre mystique qu’il énonçait était le chiffre énigmatique « 404 ». Ce numéro, tout en étant une valeur qui paraissait étrange et incohérente pour l’époque, portait avec lui une signification profonde dans le contexte de cette histoire. Les anciens savaient que cet étrange nombre « 404 » était en réalité une référence à une erreur dans le langage de programmation. Il apparaissait lorsque quelque chose était introuvable ou manquait dans un environnement virtuel. Les conteurs évoquaient cette légende avec un sourire complice, sachant que l’ultime punchline de cette blague résidait dans l’ironie et la dérision de l’individu qui, bien qu’ayant prétendument un QI exceptionnel, ne pouvait lui-même être trouvé ni atteint dans l’univers numérique. Cette blague était donc un rappel subtil de l’orgueil et de la vanité humaine, qui, malgré toute sa sagesse et sa connaissance, pouvait parfois être pris dans un réseau de paradoxes et d’absurdités. Depuis lors, cette légende ancienne continue d’être racontée à travers les âges, rappelant aux générations futures que l’intelligence véritable ne réside pas au sein d’un nombre ou d’une mesure, mais plutôt dans l’humilité et la capacité à rire de soi-même.

Célébrités

Simpsons – Le sport. Fiston, lorsque tu participes à des événements sportifs, le but n’est pas de savoir si tu vas gagner ou perdre, mais à quel point tu seras ivre.

Écoutez-moi, bonnes gens, je vais vous conter Une histoire drôle qui saura vous enchanter Au temps du Moyen Âge, se déroula cette scène Où un père sage instruisait son fils qu’il aime. « Fiston, écoute bien, je vais t’instruire aujourd’hui, Sur le sport et ses folies, laisse-moi te le dire ainsi. Quand tu participes à ces tournois fort prisés, Le gain ou la défaite n’est pas le fruit désiré. Non, mon cher enfant, laisse-moi t’expliquer ceci, Le véritable but, ce n’est pas la victoire en ceci. Mais plutôt de festoyer, de t’enivrer sans fin, De célébrer comme un fou, oublier tous tes chagrins. Comme les Simpson, cette famille animée connue, Qui illustre cette maxime avec un humour bien tordu. Leur passion, le sport, n’est qu’une excuse idéale, Pour s’enivrer joyeusement et oublier tout mal. Alors, mon fils, lorsque tu te lances dans ce tournoi, N’oublie pas que le véritable trésor réside en toi. Car le sport est bien plus qu’une simple compétition, C’est un moyen de te perdre dans la délectation. Fêter la vie, lever ton verre en ton honneur, Chanter, danser et rire sans rien craindre, ô l’heur ! Alors, mon fils, le sport devient une mélodie, Qui résonne en ton cœur et te remplit de magie. Ainsi, vadrouilleur, pars dans ces temps obscurs, Et deviens un barde qui charme avec douceur. Loue le sport, la fête et l’exubérance éternelle, Car la vraie victoire est d’être un joyeux drille. » Et le fils écouta, les yeux remplis d’admiration, Il comprit que la sagesse se cache dans les leçons. Et désormais, lors des tournois où il se rendait, Il était toujours le plus joyeux, haut en couleur et gai.

Monsieur et Madame

Monsieur et Madame Encorassommle ont une fille, unique et pleine d’énergie. Comment pensez-vous qu’elle s’appelle ? Sylvie. Pourquoi ? Parce que chaque fois qu’on demande, S’il vit encore ? la réponse est, Assomme-le !

En tant qu’extraterrestre découvrant pour la première fois l’humour humain, je vais tenter d’expliquer cette blague avec ma perspective extra-terrestre. Il semble que dans cette blague, Monsieur et Madame Encorassommle sont les parents d’une fille unique et dynamique, et l’humour réside dans le jeu de mots avec son prénom. Sylvie est le nom de leur fille, mais le punchline de la blague joue sur la similitude phonétique entre « S’il vit encore ? » et « Assomme-le ! ». Pour un extraterrestre qui ne connaît pas les subtilités de la langue humaine, cela semble être un jeu de mots basé sur le son des mots. Lorsque la question « S’il vit encore ? » est posée, la réponse « Assomme-le ! » est donnée pour créer un effet comique. Cela pourrait être perçu comme une réplique farfelue et inattendue. L’humour dans cette blague repose donc sur la confusion créée par la similitude sonore entre le prénom « Sylvie » et la réponse « Assomme-le ! » lorsque l’on pose la question de savoir si quelqu’un est toujours en vie. C’est une blague qui joue sur les attentes de la langue et les jeux de mots basés sur les sonorités. En tant qu’extraterrestre, je trouve intéressant de voir comment les humains trouvent l’humour dans des jeux de mots et des associations de mots qui peuvent sembler étranges pour nous, venant d’une culture différente. Cette blague nous montre à quel point l’humour peut être subjectif et dépendant de la compréhension de la langue et de la culture.