Humour

Blagues de Toto

Un élève optimiste se lance un défi : ‘Au prochain trimestre, je vais doubler ma moyenne actuelle !’ Ayant une moyenne de 0, il est convaincu que son objectif est parfaitement atteignable.

Il était une fois, dans une petite ville tranquille, un jeune garçon nommé Ducobu. Ducobu était connu pour être le cancre de l’école, toujours en train de rigoler et de faire des bêtises. Malgré cela, il était plutôt populaire auprès de ses camarades de classe, car il avait un sens de l’humour inégalable. Un jour, alors qu’il se trouvait devant le tableau noir, en train de rêvasser, il eut une idée incroyable pour échapper à ses mauvaises notes et prouver à tous qu’il pouvait s’en sortir. « Au prochain trimestre », se dit-il, « je double ma moyenne ! J’ai 0, ça devrait être jouable. » Ducobu commença alors à travailler dur. Il passait des heures à étudier et à faire ses devoirs. Il se mit même à la recherche de tous les livres d’aide à la réussite scolaire disponibles, et dévora chaque page avec appétit. Ses parents, surpris de cette soudaine motivation, le soutenaient de toutes leurs forces. Le jour des résultats arriva enfin. Ducobu était stressé, mais confiant. Il se dirigea vers l’école, espérant entendre son nom parmi les meilleurs élèves pour la première fois de sa vie. Mais lorsqu’il ouvrit l’enveloppe avec ses notes, son visage se décomposa. Les chiffres étaient les mêmes qu’auparavant, aucune amélioration n’était visible. Il avait encore une moyenne de 0. Son professeur principal, le professeur Latouche, s’approcha de lui avec un sourire narquois. « Eh bien, Ducobu », dit-il d’un ton moqueur, « on n’a pas réussi à doubler sa moyenne ? » Ducobu, loin de se décourager, afficha un sourire malicieux. « Ah non, monsieur Latouche », répondit-il. « J’ai bien doublé ma moyenne, en effet ! J’ai obtenu un joli 0… mais maintenant, si je le double, j’aurais un magnifique… 0 aussi ! » Tout le monde éclata de rire. Ducobu avait réussi à transformer un échec apparent en une blague hilarante. Et dès lors, il fut reconnu comme le roi de la comédie à l’école. Ainsi, Ducobu continua sa scolarité dans la joie et la bonne humeur, utilisant son humour pour apporter du bonheur à ses camarades. Même s’il n’était pas le meilleur élève, il était le plus apprécié de tous. Cette histoire nous rappelle que parfois, le plus important n’est pas d’atteindre des sommets académiques, mais de cultiver le bonheur et le rire dans nos vies. Et cela, Ducobu l’avait compris mieux que quiconque.

Célébrités

Coluche – Gardien de la paix. Les gardiens de la paix, au lieu de la garder, ils feraient mieux de nous la foutre !

Dans les temps antiques où les énigmes étaient enseignées, Un sage mystérieux partageait sa pensée. Tels des gardiens de la tranquillité, ils se faisaient nommer, Mais bien des fois, la paix ils savaient égarer. Tiraillés par leurs devoirs, semblant les oublier, Ces gardiens de la sérénité semblaient divaguer. Car au lieu de veiller sur notre quiétude avec ferveur, Ils préféraient laisser filer notre bonheur. Dans leurs mains, le pouvoir leur était donné, Mais au lieu de le préserver, ils le laissaient s’échapper. Tel un ruisseau pur, ils le laissaient se perdre, Au gré des courants, sans savoir le retenir. Ô mystère de la justice, ô sagesses oubliées, Les gardiens de la paix semblaient s’égarer. Plutôt que de la garder comme il était prescrit, Ils semblaient préférer la laisser dériver comme un navire. Ainsi, dans les méandres de cette énigme étrange, Le véritable sens de leur mission se mélange. Car gardiens de la paix, ils auraient dû conserver, Au lieu de la laisser s’évanouir, nous laissant frustrés.

Citations

Jules Renard – Travail. Au travail, le plus difficile, c’est d’allumer la petite lampe du cerveau. Après, ça brûle tout seul.

Mes chers concitoyens, Aujourd’hui, je souhaite m’adresser à vous sur un sujet d’une importance capitale, qui touche chacun d’entre nous : le travail. Nous savons tous que le travail est un élément essentiel de notre vie, un moteur de notre société. Mais permettez-moi de vous partager une blague, une perle de Jules Renard, qui illustre de manière subtile et humoristique le véritable défi que représente le travail. Allumer la petite lampe du cerveau, voilà une tâche ardue, une étape cruciale dans notre processus de réflexion et de création. Car une fois cette flamme allumée, elle brûle de façon autonome, nous permettant d’avancer avec aisance et détermination. Cette blague, mes amis, est le reflet d’une vérité profonde : le travail peut parfois sembler difficile, complexe, voire insurmontable. Mais une fois que nous avons trouvé cet élan initial, cette étincelle de motivation, alors tout devient plus simple. Nous embrassons avec passion nos responsabilités, et nous nous épanouissons dans nos accomplissements. C’est à nous, en tant que citoyens, de nourrir cette flamme, de l’entretenir avec ferveur et diligence. Car en fin de compte, le travail bien fait est source de fierté et de satisfaction personnelle. Il est le fondement même d’une société prospère, où chacun peut exprimer son plein potentiel et contribuer à l’avancement collectif. Alors, mes chers concitoyens, soyons les gardiens de cette petite lampe du cerveau. N’ayons pas peur de l’allumer, de nous engager dans le travail qui nous passionne, qui nous anime. Car c’est grâce à cette énergie, cette flamme intérieure, que nous pourrons surmonter tous les obstacles qui se dressent devant nous. Ensemble, cultivons cette lumière qui brûle en nous, et faisons du travail l’étincelle qui illuminera notre nation. Je vous remercie, et que cette blague de Jules Renard continue à nous rappeler l’importance de cet éclairage initial dans notre parcours professionnel.